Tutti-Fruti en Novembre
Bilan
Tutti-Fruti, mon petit potager, a été complétement revu au printemps. Vous pouvez retrouver sa transformation ici.
L’idée était de structurer un peu ce massif qui est vide une partie de l’année.
Pour la période de plantation, j’avoue le résultat a été à la hauteur de mes attentes.
Les différents bacs ont été bien remplis formant un joyeux fouillis. Les légumes se sont plutôt bien développés, surtout les tomates et les fraises. La récolte d’oignons a été bonne aussi.
Les cosmos, issus de semis naturels, ont rempli les vides, même si j’ai arraché beaucoup de plants.
Maintenant que redémarre la période calme, les structures du massif réapparaissent.
Novembre : le mois des plantations
Lors de la réalisation des bacs, j’avais gardé un peu de place pour un projet qui me tient à coeur depuis très longtemps : je rêvais de poirier en espalier !
Lors de la fête des plantes à Celles en avril, j’avais reluqué sur des fruitiers en espalier proposés par Jean-Lin de MelaRosa. Après discussion avec Jean-Lin, je choisissais d’être raisonnable et d’attendre les portes ouvertes de MelaRosa en Novembre.
Alors samedi 12 novembre, nous prenons la route direction MelaRosa. A 14h, Jean-Lin nous accueille et nous fait l’article des différentes variétés de poiriers, nous explique comment les installer et les tailler.
Nous repartons avec 2 magnifiques sujets : Comtesse de Paris et Général Leclerc. Reste plus qu’à mettre en place !
La mise en place a été simplifiée : pas le temps de mettre en place les supports, les poiriers sont à racines nues, pas question de laisser trainer la plantation.
Bon, comme on avait bien retravaillé la terre au printemps, les trous ont été vite faits, surtout avec l’aide de Grand Chef. Et voila le résultat !
Voilà pour un peu plus de structure dans le petit potager
Dès que le temps le permettra, nous mettrons en place des supports pour les poiriers.
En attendant je savoure déjà en rêve les futurs fruits ….
Enfin, j’ai le temps : Jean-Lin nous a conseillé ne pas laisser les fruits en place la première année. Il faudra attendre 2018 pour savourer les premiers fruits !
En tous cas, le résultat visuel me plait bien !
Eupatoire « Chocolate »
L’automne est bien installé et c’est le moment de profiter de la fanaison des arbres et arbustes. Quelques vivaces apportent encore un peu de couleur comme les chrysanthèmes et quelques asters tardifs. Mais une autre belle se fait remarquer en ce moment : c’est le bel Eupatoire « Chocolate » ( eupatorium rugosum « Chocolate »)
Au fil des saisons
En juin
Le feuillage de l’eupatoire commence à se remarquer au milieu des autres feuillages.
Sa couleur brun-chocolat tranche avec le feuillage vert clair des astrances.
Ce sont surtout les jeunes pousses qui sont très foncées.
En septembre
L’eupatoire forme un beau « buisson » foncé.
Placé en fond de massif, il culmine à au moins 1.2m.
Sa couleur foncée fait ressortir les différentes floraisons claires du massif.
En octobre
La floraison démarre.
L’eupatoire se couvre de corymbes de fleurs blanches, portées par des tiges pourpres qui mettent en valeur les fleurs.
Et surtout, la fleur légère se détache joliment sur le feuillage pourpre.
En novembre
Le feuillage de l’eupatoire perd ses couleurs pour devenir doré. Mais il reste une des vedettes du jardin en ce moment.
Ses caractéristiques
L’eupatoire aime les terres fraiches à humides et les terres lourdes ne le dérangent pas. C’est nickel pour l’endroit où je l’ai installé, c’est un des coins le plus humide du jardin.
C’est surtout en été où il peut souffrir du manque d’eau et peut donc réclamer des arrosages complémentaires.
L’été 2016 ayant été bien humide, l’eupatoire s’est franchement développé cette année, alors que je l’avais déplacé à l’automne.
Il affectionne aussi le soleil. D’ailleurs, je crois que si j’ai perdu le premier pied, c’est parce que je l’avais installé trop à l’ombre.
Il ne craint pas le froid et peut résister à -15°C. Un costaud !
Pour résumé, les pieds au frais et la tête au soleil !
Couleurs d’Automne
Après cet été chaud et sec, septembre et début octobre ont été encore doux et secs. Depuis une semaine, la fraicheur s’est installée et la pluie est revenue !
Et le jardin commence à prendre ses couleurs d’automne. Quelques massifs sont encore bien colorés. Je vous emmène faire un tour ….
Derrière la piscine
Ce massif est toujours très coloré, c’est un massif au couleur flashy ! Et en ce moment, il s’en donne à coeur joie.
Le rosier « Yann Arthus-Bertrand » continue sa floraison accompagné maintenant par le lumineux aster « Alma Potschke ». Les osteospermums continuent aussi d’animer joyeusement le massif.
Dans l’autre sens, le massif joue aussi les prolongations estivales avec le tabac « Lemon Lime ».
l’osteospermum jaune est lui aussi toujours en forme.Il devrait tenir jusqu’aux premières gelées.
A sa droite,
la sauge « Savannah », récupérée lors d’une Donnerie et installée cette été, fleurit depuis son installation et explose vraiment en ce moment.
A droite toute,
un dahlia rose, offert cette année par ma Jolie-Soeur et venant du jardin de sa maman, fleurit aussi généreusement en attendant les chrysanthèmes.
J’avoue que ce massif me régale en ce moment, il pétille !
Les Tonnelles
Du coté des Tonnelles, ce sont surtout les asters qui font le spectacle au sol, tandis qu’en hauteur la clématite « Orange Peel » est couvert de petites fleurs jaunes-orangés.
C’est le massif des mauves !
 <- Aster mauve clair, dont j’ai perdu le nom !
Celui-ci plus parme devrait être l’Aster « Crimson Brocade » mais la couleur ne correspond pas ->
 <- Celui-ci est l’Aster « Jenny » .
C’est un dumosus qui reste petit : idéal pour l’avant des massifs !
Duo d’asters avec un aster mauve très foncé sans nom et l’aster cordifolius « Blütenregen » aux petites étoiles lavandes ->
 <- Au bout du massif, un autre petit aster.
Il s’agit de l’Aster ageratoides « Asmoe » au petite fleur lavande très pale.
Il forme un joli coussin depuis fin août.
Derrière le budleia, l’aster « Wolkonsky », offert par David au printemps, s’est bien installé ->
<- Comme j’ai adoré sa couleur, lors de ma sortie à la Fête des Plantes de Genech, j’ai craqué pour l’aster « Violetta » dans les mêmes teintes de couleurs.
C’est un novae-angliae de grande taille, environ 1.5m.
Je l’ai installé près d’un aster mauve pâle.
 Voilà pour un petit tour des asters mauves.
Le Massif du Seringat
Le massif du Seringat est dédié aux rouges et blancs. Ce sont donc les asters blancs qui dominent en ce moment.
Le plus impressionnant dans le massif est l’aster « Chloë », très haut et surtout bien droit.
J’adore ses petites fleurs à coeur jaune qui devient framboise.
D’un blanc pur, l’Aster « Monte Cassino » a lui de grandes fleurs à coeur jaune.
 Celui-ci est un aster de la série victoria.
A l’achat, il était petit, mais installé en pleine terre il atteint presque un mètre.
J’adore sa fleur très double.
Pour finir avec les asters blancs, voici le beau Divaricatus en fleur depuis août.
Même s’il a tendance à s’étaler (et encore cette année, j’ai pensé à le pincer ), je craque sur ses fleurs légères au coeur jaune devant presque pourpre !
Voilà pour le blanc, mais il y a aussi du rouge …
Too Much
Avec le massif Too Much, c’est changement de couleur ! Ici, c’est le massif des pourpres et roses.
Cette année, l’eupatoire « Chocolat » est superbe et apporte un beau fond foncé.
 Les fleurs de l’hydrangea quercifolia « Snowflake » passent du blanc-vert au rose pâle. Certaines fleurs ayant séchées avec la chaleur, les grandes panicules sont franchement colorées en ce moment.
Pour l’accompagner, le rosier « Astronomia » fait encore quelques fleurs légèrement poudrés de rose.
Toujours dans les teintes de rose pâle, l’aster ericoïdes « Ring Dove » forme un nuage de petites fleurs légères.
J’ai encore oublié de le pincer et du coup, il a tendance à s’écrouler sur l’hydrangea.
Pour équilibrer le massif, j’ai installé de l’autre coté de l’hydrangea le bel aster « Fellowship » acheté à Genech.
Les teintes de rose sont les mêmes, mais la taille des fleurs diffèrent franchement. Il reste à attendre l’automne 2017 pour voir le résultat !
Overdose
Le massif Overdose prend de belles couleurs en cette saison, même s’il n’y a aucun aster (pour le moment).
 Une des vedettes du massif en ce moment est le beau viburnum Mariesii Plicatum qui est en train d’enfiler son habit pourpre.
Pour lui voler la vedette, le chrysanthème « Poésie » commence à ouvrir ses nombreuses fleurs blanc crème qui prennent quelques teintes roses en fin de floraison.
Une autre beauté qui se dévoile en ce moment avec le soleil plus rasant : la belle Setaria « Caramel » issue de graines du SOL2016. J’avoue qu’en ce moment, elle me fait craquer !
Et vous craquez-vous sur les couleurs d’automne ?
Jolies tomates
Belles récoltes
Cette année, les tomates sont plutôt généreuses.
Un début d’année frais et humide et fin juin les plants étaient plutôt costauds, mais aucune fleur. Début juillet, avec la douceur sont apparues les premières fleurs et fruits, mais aussi quelques taches brunes sur les plants.
Mi-août, au retour de vacances, les fruits ont grossi, mais quelques uns sont franchement abimés. J’ai enlevé tous les fruits abimés. Et la chaleur est arrivée ….
Depuis, je récolte entre 500g et 1kg de tomates tous les 2 jours. Rien que du bonheur !
De la variété
Cette année, j’ai planté plusieurs variétés. Je vous les présente en commençant par la plus petite !
Poire Jaune
Poire jaune, parce qu’elle a la forme d’une poire et jaune parce qu’elle est ….jaune, bien sur !
C’est une petit tomate à déguster à l’apéro.
Son gout n’est pas très fort, mais c’est quand même meilleure que les tomates cerise du commerce.
Je ne me souviens pas depuis combien de temps je la cultive au jardin.
Chaque année, je récolte mes graines et chaque année, je suis ravie de la retrouver.
Elle est très généreuse et résiste plutôt bien aux maladies.
Simple et efficace, comme j’aime
Prune verte
Elle a la forme d’une prune et aussi sa taille.
Elle est verte marbré vert plus foncé sur le dessus.
Très sucrée, nous la savourons souvent pour l’apéro.
Mais elle apporte aussi une belle touche de couleur dans les salades de tomates.
J’avais obtenu des graines lors de la fête de la Tomate à Haveskerque en septembre 2014 !
Depuis, je récolte ses graines et me régale avec ses jolis fruits.
Dark Galaxy
Celle-ci est nouvelle au jardin. Je l’ai obtenue de Eddy C. lors du SOL2016.
Le fruit est plutôt petit mais très original en couleur : il démarre en noir (au dessus) et vert, puis le vert passe au rouge légèrement tacheté. Par contre, je la trouve longue à mûrir.
Coté goût, c’est une tuerie !
Tous ceux qui l’ont gouté sont repartis avec des graines ! Son goût est très doux et sucré. Comme les fruits étaient petits, nous l’avons principalement consommé en apéro. Mais dans une salade, elle fait sensation avec son mélange de noir et rouge.
Elle a plutôt bien résisté aux maladies.
Gigant Kuby
C’est une variété à gros fruit, vert marbré sur le dessus et rouge orangé sur le dessous.
Elle est bien charnue et permet de faire de jolies salades colorées.
J’ai commencé à récolter les graines pour l’année prochaine.
Amish Paste
Encore une variété que j’ai reçue d’Eddy lors du SOL2016.
C’est une variété type Roma, charnue et allongée.
Coté goût, je la trouve un peu fade,
mais elle complète bien les salades de tomates par sa jolie couleur rouge.
Elle a aussi bien résisté aux maladies.
Et elle produit plutôt bien.
Il me reste à récupérer des graines pour l’année prochaine.
Salade colorée
Voilà de belles couleurs pour une jolie salade de tomates juste assaisonnée d’un filet d’huile d’olive, bio bien sûr
Et chez vous, la récolte a été bonne ?
Le jardin en Juillet
L’été a eu beaucoup de mal à s’installer, mais depuis quelques jours la chaleur est présente et le jardin se réveille après des semaines de fraicheur et d’humidité.
Je vous emmène faire un tour ….
Carré Gauche
Dans Carré Gauche, les géraniums « Kasmir Blue » et « Orion » sont toujours en fleur en compagnie du rosier « Sunny Rose » et de l’hémérocalle « Double River Why ».
Ambiance toute douce pour ce massif !
Carré Droit
C’est toujours l’heuchère « Caramel » qui tient la vedette dans le massif, accompagnée cette année, par les astrances qui ont franchement apprécié le temps humide et fleurissent généreusement.
Sous-Bois
Au Sous-Bois, les feuillages sont encore en pleine forme. Eux ont aussi ont savouré l’humidité des mois précédents.
Quelques beautés viennent éclairer tout ce vert, comme les grosses panicules de l’hydrangea « Vanille-Fraise » qui sont encore vanille et les fleurs tout en légèreté du schizophragma.
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Une autre beauté toute récente au jardin
Il s’agit de l’hosta « White Feather » acheté à Celles au printemps,
qui démarre avec un feuillage blanc qui devient tout doucement vert.
Comme je ne savais pas où l’installer, je l’ai installé en pot.
Et je suis plutôt contente du résultat !
Il s’est bien étoffé depuis qu’il est en pot et en plus, un peu de hauteur permet de bien l’apprécier.
Et son feuillage blanc répond bien aux fleurs de « Vanille-Fraise ».
Rond’O
Du coté de Rond’O, tout le monde est en forme.
Dans la petite bassine, le myosotis blanc et l’arum calla sont en fleur.
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Dans la grande barrique, le nénuphar me prépare une fleur.
Le Long de la Haie
Cette année, les hydrangea ne souffrent pas encore de la sécheresse.
Les hostas sont en pleine forme, même pas grignotés par les limaces (juste par la tondeuse !). Délicatement posé sur l’hosta,ce sont les fleurs de l’erigon « Quakeress » .
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Overdose
Overdose a eu le droit à un petit agrandissement et quelques nouveautés sont venues s’installer.
 Le Verbascum blattaria « Alba » de David a trouvé sa place au milieu du massif .
Pas trop loin, j’ai installé le lychnis coronaria « Oculata ».
La catananche blanche a aussi trouvé sa place … mais en fait elle est bleue et sera déplacée à l’automne.
Les floraisons blanches se poursuivent aussi avec le rosier « Princesse de Galles », l’achillée ptarmica « The Pearl » et la belle véronique longifolia « Charlotte ».
Too Much
Dans Too Much, c’est l’explosion des floraisons avec en vedette le magnifique hydrangea quercifolia « Snow Flake » aux grandes panicules blanches et vertes et au feuillage pourpre.
Les Rhododendrons
Du coté des rhododendrons, c’est calme.
Seul un hortensia vient animer l’ensemble.
C’est un petit hydrangea macrophylla reçu en cadeau.
Je pensais qu’il resterait petit (voir qu’il ne survivrait pas)
alors je l’ai installé à l’avant du massif.
Mais en réalité, il s’est franchement développé.
Et on ne voit plus que lui !
Et tous ceux qui sont passée au jardin ces jours-ci sont tombés sous le charme de ses grandes panicules
à fleurs blanches légèrement rosées autour et roses plus foncées au milieu.
 Du forsythia aux azalées
L’ambiance est plutôt bonne cette année dans ce massif que j’ai retravaillé en mai.
 J’aime bien le jeux de feuillages colorés.
De gauche à droite :
– feuillage vert foncé d’hellebore
– feuillage vert tendre d’hellebore
– Epimedium « Orange Koeninging » au feuillage anis
– Heuchère « XXL »
– Hosta « Devon Gold »
– Nandina Domestica « Fire Power »
– Acer palmatum « Peve Chameleon »
Massif du Seringat
Le massif du Seringat est franchement coloré en Rouge et Blanc.
 L’achillée « Pomegranate » est en super forme et profite du prunus « Kojo No Mai » pour se tenir bien droite.
Pour lui tenir compagnie, le phlox « White Flame » qui prend de légères teintes roses cette année.
Il y a d’autres rouges et blancs, j’en ai présenté quelques uns dans l’article précédent.
Butte du Pêcher
En jaune avec ….
 les roses de « Breathless Charm » et
avec les grandes marguerites du leucanthemum « Broadway Lights »
Du rose avec …..
  les toutes petites fleurs du rosier « The Fairy »
et l’achillée « Red Velvet » qui a un peu perdu ses couleurs avec le soleil.
Massif aux Papillons
La massif aux Papillons a été revu en juin et les belles se sont bien installées.
 Le phlox « Sherbet Drink » a profité du nettoyage du massif pour enfin fleurir généreusement. J’attends ce moment depuis 2010 !
Derrière le phlox, le lavatère « Park Alley » m’offre sa première floraison. Quelle beauté !
 L’ajuga reptans « Atropurpurea » installé en juin a déjà bien envahi l’arrondi du massif.
Près de l’ajuga, la centaurée « Jordy » m’offre sa première fleur !
Les Tonnelles
Les Tonnelles se colorent de dégradés de mauve. Des duos se forment ….
 Duo entre les fleurs de mon géranium « Carré Gauche » et celles du géranium « Blue Sunrise ».
Duo entre les fleurs du géranium « Rozanne » et « Ann Folkard »
D’autres préfèrent rester solo pour mieux se faire apprécier
 Comme les belles roses du rosier « Cool as Ice » qui n’ont pas souhaité éclore en même temps que celles de « Rhapsody in Blue ».
Comme le magnfique phlox « Laura » mauve à coeur blanc qui se dresse bien droit au dessus du géranium « Johnson Blue ».
Juste pour le plaisir, les Tonnelles d’en l’autre sens
Tutti-Fruti
Pour le moment, tout va bien au potager. Les tomates ont mis du temps à se décider à fleurir mais depuis l’arrivée de la chaleur, tout change vite !
 Les cornichons commencent à se former.
Les fraises font une belle remontée.
Les premières tomates se forment.
Les oignons sont bons pour être arrachés. La récolte devrait être belle.
Derrière la Piscine
Le massif Derrière la Piscine pétille de couleurs. Au centre, le rosier « Yann Arthus-Bertrand » continue de fleurir. D’autres beautés viennent l’accompagner.
Une beauté pétillante : l’échinacée « Hot Papaya » qui démarre orange pour finir presque rouge.
Encore plein d’autres ….
Des couleurs flashy pour réveiller l’été
Vue générale
Je termine mon tour de jardin. Je ne peux m’empêcher de savourer la vue générale du jardin.
Grand Chef s’est acharné sur le gazon : rotofil le long des massifs et tonte. Et mon Beau Frère est passé tailler les haies. Le jardin est bien mis en valeur.
J’adore !
Le Club des 5 rouges de Juillet
Pour accompagner Marie-Claude du blog Un P’tit Coinde Nature, je vous présente mes 5 fleurs rouges du moment.
En fait, je n’ai pas beaucoup de rouge au jardin, à part dans le massif du Seringat dédié aux rouge et blanc.
Hémérocalles
Je les ai présenté il y a peu, mais elles sont tellement belles qu’il n’y a pas de mal à les présenter encore !
Version rouge sans nom
Version rouge framboise avec « Carolina Cranberry »
Achillée
Il s’agit de l’achillée « Pomegranate ». C’est un achat de septembre 2015 à la pépinière Delabroye.
C’est un achat que je ne regrette pas : des têtes fleuries énormes et une couleur profonde. Elle s’est bien installée et cette année, elle profite du Prunus « Kojo No Mai » pour se tenir bien droite.
Monarde « Cambridge Scarlet »
Une beauté originale et parfumée. Même son début de floraison est superbe !
Clématite « I am happy »
Bon d’accord, elle est plus framboise que rouge !
Vue d’ensemble
Pour finir, je vous présente une vue du massif qui regroupe tous ces rouges. Au milieu, il y a aussi un rosier rouge (mais je n’ai pas de photo sous la main pour l’ajouter aujourd’hui)
Et vous, avez-vous du rouge au jardin en ce moment ?
Le temps des Hémérocalles
Un peu en retard par rapport aux années précédentes, les hémérocalles ont démarré leur floraison.
C’est une plante que j’adore ! Elle n’est pas difficile et supporte sans problème ma terre argileuse. Elle ne craint ni le froid ni la chaleur. Et surtout elle nous offre des fleurs de toutes les couleurs.
Allez, c’est parti pour un petit tour des hémérocalles du jardin.
 Too Much
Dans le massif Too Much, j’ai choisi des teintes pastelles et pourpres.
Alors quand j’ai créé le massif, j’ai cherché une hémérocalle au teinte douce pour tenir compagnie à l’hydrangea quercifolia « Snow Flake » et au rosier « Astronomia ».
J’ai trouvé une hémérocalle rose-abricot très pastel,
nommé « Jean Swann ».
Après comparaison avec les photos du Net,
la mienne n’est pas double,
mais j’adore sa couleur !
Et quel contraste avec les feuilles pourpres de l’hydrangea quercifolia.
J’aime aussi le tendre duo qu’elle forme avec les roses de « Astronomia ».
Elle est installée depuis 2011
et pour le moment, je la laisse s’étoffer encore avant de la dédoubler.
Du forsythia aux azalées
Entre le forsythia et les azalées, pousse l’hémérocale « Summer Wine ».
 Celle-ci est au jardin depuis 2005
et quel plaisir de la retrouver chaque année !
Je l’ai déjà dédoublé plusieurs fois.
J’ai même enlevé un pied à l’automne pour faire de la place dans le massif
et du coup, j’ai plein de bébés qui attendent de trouver un jardin où s’installer !
Et tous les bébés se sont bien développés
et sont en fleur du coté de la pépinière.
Même pour ça, c’est une plante facile !
Le massif du Seringat
Le massif du seringat est dédié aux blancs et rouge-framboise.
plusieurs hémérocalles colorent le massif et
participent à la fête de l’été.
La plus visible : Hémérocalle « Carolina Cranberry ».
Elle est rouge-rosé très foncé,
légèrement nervurée
et forme un duo pétillant avec les
 – astrances blanches ou le
 – leucanthemum « Phillis Smith ».
Elle est au jardin depuis 2008
et je ne l’ai jamais dédoublé.
La plus discrète : Hémérocalle « Catherine Woodberry »
Elle est rose lavande très clair et
apporte une belle touche de légèreté dans le massif.
Elle forme un joli duo avec les campanules blanches.
Elle aussi est installée depuis 2008
et je ne l’ai pas dédoublé.
Même si la fleur d’hémérocalle ne dure qu’un jour, chaque tige prépare au moins une 20aine de fleurs ce qui permet de profiter longtemps du spectacle.
 La Serre
Devant la serre, j’ai installé un grand pot avec un pied d’hémérocalle.
Mais je ne sais pas qui elle est !
Elle a de grandes fleurs rouge avec un coeur jaune.
J’ai cru que c’était « Carolina Cranberry » mais comme je ne l’ai pas dédoublé, ça ne peut pas être elle ! Et puis la couleur est franchement plus rouge.
Et comme je ne note pas forcément ce que je mets en pot, je vais avoir du mal à l’identifier.
Ce n’est pas grave. Elle est belle et très lumineuse, alors je savoure sa présence devant la serre.
Les Tonnelles
Les Tonnelles sont dédiées aux mauves et bleus.
L’année dernière au printemps,
j’ ai installé 3 hémérocalles en provenance de la Pépinière de la Pointe pour tenir compagnie aux roses et aux géraniums.
Sur les 3, une seule s’est bien installée et m’offre ses premières fleurs.
C’est l’Hémérocalle « Strutter’s ball ».
Elle est pourpre velouté avec un coeur jaune.
Elle n’a fait qu’une seule tige florale,
mais je sais qu’elle se sera encore plus généreuse l’année prochaine.
A l’automne dernier, j’ai déplacé une hémérocalle qui se trouvait sur la Butte du Pêcher au milieu des roses et jaunes.
Sa couleur, trop violette, faisait tache sur la Butte du Pêcher !
Elle ne m’a pas tenue rigueur de ce déplacement et fleurit très généreusement cette année.
Son nom ? Normalement, ce devrait être « Cute as can be », rose double.
Mais ce n’est pas elle. En cherchant sur le Net, j’ai trouvé l’hémérocalle « Super Purple » qui lui ressemble beaucoup. Je l’ai donc rebaptisée.
 Derrière la piscine
Ce massif est multi-couleur : le principal est d’arriver à un massif qui pétille !
Au milieu du massif, des hémérocalles achetées en mélange sont installées depuis le début du massif en 2007. Puis, j’ai eu envie d’en ajouter d’autres ….
En 2010, je craque pour l’hémérocalle « David Kirchhoff ».
Elle est décrite comme « Superbe variété aux fleurs de 15 cm rose pourpré à gorge verte, à bordure frangé jaune crème ».
La mienne est moins pétillante que prévu,
mais elle est super généreuse.
La dernière hémérocalle installée dans ce massif vient de m’offrir ses premières fleurs.
Il s’agit de l’Hémérocalle « Night Embers ».
Celle-ci est rouge très foncé et légèrement parfumé,
mais pour le moment, je n’ai rien senti.
Elle est installée à coté d’une échinacée orange « Hot papaya » :
le duo est superbe, mais je n’ai pas fait de photo.
En tous cas, elle est très originale.
Voilà pour un petit tour au milieu des hémérocalles du jardin.
Et vous, les aimez-vous ces Lys d’un jour ?
J’ai planté un Oyas
Dans le cadre du partenariat avec Botanic et pour un jardin toujours plus naturel, j’ai reçu un Oyas !
Oyas, mais c’est quoi !
L’oyas est un moyen écologique et économique d’arroser les plantes du jardin ou de la maison.
J’ai depuis plus de 15 ans des petits oyas dans mes pots de plantes dans la maison. Ceux-ci étaient funs, représentants des animaux, et à planter dans la terre du pot.
Leur fabrication en terre-cuite, non émaillée pour la partie enterrée, permet de diffuser l’eau contenue dans l’oyas vers la terre en fonction des besoins de la terre. Ainsi les plantes profitent d’un arrosage en douceur, juste ce dont elles ont besoin.
Alors quand Botanic m’a proposé de tester les oyas, j’étais ravie. J’ai pris la version L en pensant l’installer au jardin.
L’oyas que j’ai reçu est donc un grand format, en terre cuite non émaillée.
C’est tout d’abord un bel objet qui est resté plusieurs jours sur la terrasse juste pour le plaisir des yeux.
Ensuite, c’est une fabrication française, un plus à mes yeux, par l’entreprise Oyas Environnement à St Jean de Fos dans l’Hérault (34). Cette entreprise a en plus des ambitions écologiques et sociales. Génial ! J’adore, surtout en ces temps où l’état essaie de détruire les droits des salariés…
Mais surtout, l’Oyas est un diffuseur d’eau.
Il permet de limiter les arrosages en surface et surtout est plus efficace que les arrosages en surface, ce qui permet de diminuer les arrosages et donc de diminuer la consommation d’eau.
C’est bon pour mon porte-monnaie mais aussi pour la planète !
Pour plus de clarté, j’ai repris leur graphe, que je trouve très explicite.
Oyas au jardin
Au jardin, je n’ai pas vraiment besoin d’oyas. J’habite une région réputée humide et cette année, c’est pire que d’habitude ! Alors pourquoi choisir un oyas ?
En fait, j’ai choisi cet oyas pour installer dans mon potager. Au potager, dans ma terre lourde, j’ai du mal à faire pousser certains légumes et les récoltes sont faibles. L’année dernière, nous avions installer des bacs à partager (article ici ) et les récoltes avaient été bien meilleures que dans mon potager. Par contre, il fallait arroser régulièrement ….
Cette année, le potager a été revu complètement : Grand Chef a créé des grands bacs comme pour les bacs à partager. Et du coup, j’ai trouvé que l’oyas pourrait être une bonne solution pour l’arrosage.
J’ai donc installé l’oyas dans le bac le plus haut à coté d’un plant de courgette (là où il y avait de la place !). Tout d’abord, j’ai fait un grand trou. Pour la profondeur, j’ai été un peu limité par les branchages utilisés pour le remplissage du bac.
Puis j’ai installé l’oyas dans le trou et ramené la terre bien autour ! L’oyas dépasse un peu, mais ça ne l’empêche pas de fonctionner ! La dernière étape consiste à remplir l’oyas d’eau non calcaire et propre et d’attendre ….
En 5 quelques jours, l’oyas s’est vidé 1/3 mais bon, il a encore bien plus pendant ces 5 jours.
En tous cas, je suis ravie de tester cet oyas pour Botanic. Je vous donnerai des nouvelles en fin de saison lors du bilan au potager.
J’ai aussi reçu un pulvérisateur, spécial décoction maison. Mais j’avoue : je n’ai pas encore eu le temps de le déballer. Ce sera pour plus tard !
PS : vous pouvez retrouver les oyas sur le site de Botanic.
Iris surprise
Belle découverte dans le massif des Tonnelles, au milieu des iris pallida . . .
Un bel iris , même 2 iris du type iris barbu ont surgi du massif au milieu des nombreux pallida.
Surprise ! Je ne me souviens pas de sa plantation.
Ma base de données
Je me suis développée une petite application pour gérer les plantes du jardin, il y a longtemps. J’ai donc un bon historique de mes achats !
Comme depuis mon passage chez David, j’ai fait pas mal de mise à jour. J’ai ajouté les photos au descriptif des plantes. Bonne idée.
Ca fait un mois que je travaille dessus : j’ai du lier les photos aux plantes, soit plus de 500 photos pour plus de 700 plantes. Un boulot de fou à parcourir toutes les photos du jardin !
Mais je suis plutôt contente du résultat !
Iris retrouvé
Du coup, j’ai passé pas mal de temps sur ma base de données et
j’ai recroisé des iris achetés en 2002 chez Cayeux.
J’ai perdu rapidement plusieurs variétés lors de la plantation, merci ma terre argileuse.
L’iris « Fiesta Time » a survécu plusieurs années mais je ne l’ai pas vu en 2016.
Via internet, j’ai recherché les photos des différentes variétés et quand j’ai vu les photos de l’iris « Cranberry Ice » à coté du mien,
je me dis qu’ils se ressemblent beaucoup !
Alors iris identifié !
J’ai un doute.
Dans ma base de données, il est noté 2002 et
à cette époque le massif des Tonnelles n’existait pas !
Il serait d’abord passé par la butte du pêcher puis je l’aurais ramené ici ? Je ne m’en souviens pas.
Alors je vais faire confiance à ma base de données plutôt qu’à ma mémoire et
dire qu’il s’agit du bel iris « Cranberry Ice ».
Je suis ravie de cette surprise, Il est beau mon iris « Cranberry Ice » !
Mai a passé
Nous voilà déjà en Juin, après un mois de mai déprimant. Je ne me plains pas, je pense à ceux qui ont tous perdu dans les inondations.
Ici, pas de dégâts. Mais les floraisons sont un peu tristes.
Mai a aussi su nous offrir quelques belles journées et la jardinière en a bien profité.
Samedi 21 mai se réveille sous le soleil, alors je pars faire mon tour avec mon APN.
Bon, j’adore cette vue depuis la maison. Grand Chef a tondu et fait les bordures des massifs la veille. Le soleil rasant du matin illumine le gazon.
Allez je vous emmène… par lÃ
Les petits Bassins
Au bout de la terrasse, les petits bassins au pied de la pompe s’installent.
Vanille d’eau et veronique beccabunga accompagnent les joncs.
Carré Droit
C’est toujours la belle heuchère « Caramel » qui tient la vedette dans ce massif.
Mais d’autres beautés lui tiennent compagnie, comme le corydale « Chocolate Star » qui apprécie son installation en pot plutôt que dans la terre lourde et qui m’offre une jolie floraison.
Sous-Bois
C’est le royaume du feuillage !
Un peu de soleil illumine jusqu’au Sous-Bois
Rond’O
Le matin, Rond’O profite du soleil.
Le long de la Haie
Après la cabane, le jardin s’ouvre sur le massif le long de la haie.
Les tonnelles se colorent avec les clématites en attendant la floraison des hortensias.
Overdose
Au milieu du jardin, le massif Overdose se couvre de blanc
Le viburnum mariesii plicatum est la vedette.
 Too Much
Le massif se colore de rose et de pourpre.
Le rhododendron « Virginia Richards » et le géranium « Orkney Cherry » apportent la touche de rose. En couvre sol, la petite violette labradorica pourpre change de couleur.
Rhodo et Azalée
Le gros azalée japonais fushia finit sa floraison accompagné par l’azalée mollis jaune.
Le massif du Seringat
Le massif du Seringat est dédié aux blancs et rouge-framboise. De ce coté-ci, c’est surtout le blanc qui domine !
Du beau blanc avec le sceau de Salomon, la primevère japonaise et l’allium nigrum.
Mais de l’autre coté du massif, les bleus et mauves se sont installés.
J’avoue, je trouve le résultat sympa. Juste dans des teintes que j’adore. Le géranium phaeum « Samobor » s’est franchement installé et Dame Nature m’a gâté en ancolie.
Je ne vais pas les arracher sous prétexte qu’elles ne sont pas dans le ton du massif !
Je vais quand même les déplacer après la floraison, si je n’oublie pas…
Butte du Pêcher
Le cytise pourpre est à son apogée. Pas mal de compagnes se préparent comme les phlomis au centre du massif et les alchemilles en bordure qui installent d’abord leur feuillage.
Près du portail
Le lila est magnifique et quel parfum ….
Il faut que j’aille faire un coup de nettoyage dans les bambous ! On ne profite plus du choysia !
Massif aux Papillons
Le massif aux papillons est couvert de scabieuses. Je commence à avoir quelques idées de réaménagement…
Les Tonnelles
Du coté des tonnelles, les mauves explosent
Ici, le massif est envahi par les myosotis, pour mon plus grand plaisir.
Au dessus des myosotis apparaissent les iris pallida parfumé, les scabieuses, les ancolies et un bouton du rosier « Cool as ice ».
Tutti-fruti
J’ai installé les tomates et les courgettes. Ils ont démarré sous la fraicheur et même un peu de grêle !
Les feuillages ont un peu blanchi, mais les plants ont l’air de bien résisté ! Les pommes de terre ont bien démarré.
Derrière la piscine
Le massif est bien coloré et les promesses de floraison sont nombreuses.
Ici une scène pétillante avec la rose « Yann Arthus-Bertrand », les nigelles et le géranium sanguineum.
Le tour se termine. Mais je ne peux m’empêcher de savourer la vue générale
Le gazon éclairé par le soleil levant est presque hypnotisant ! J’adore.
Aux pieds des plaques
En revenant vers la maison, je savoure l’ambiance aux pieds des plaques.
Le rosier « Summer Wine » démarre sa floraison qui promet d’être généreuse.
Les aromatiques se déchainent : la ciboulette en fleur nous propose ses pompons mauves alors que l’origan et la sauge ont plus que doublé.
Les petits choux se sont bien installés et le lewisia fleurit.
La potée constituée d’un pétunia « Night Sky », d’une campanule et d’un nemesia bleu se porte bien et contraste avec la sauge aux feuillage anis.
Finalement, même si le mois de mai n’ a pas été terrible, nous avons quand même eu quelques belles journées et surtout le jardin se porte à merveille : un peu en retard par rapport aux autres années mais pas accablé par la chaleur !