Archive pour la categorie ‘Gros Plan’
Le temps des Asters
L’automne a ses plaisirs, ses parfums et ses couleurs. Je suis Fan !
Et pour la couleur, le jardin peut compter sur les Asters.
Je me régale à chaque tour du jardin.
C’est le bon moment pour faire un petit bilan des Asters du Jardin.
Je vous emmène.
Près des plaques
Au bord de la maison, le petit massif sur la Terrasse est couvert d’un aster violet, très lumineux. Au soleil, il parait rose. Je ne sais pas qui il est est. Aucune note dans mes cahiers.
Derrière la Piscine
Je n’ai installé qu’un pied d’aster, le très lumineux na « Alma Potschke ». Depuis 2009, le forsythia et le rosier « Yann-Arthus Bertrand » l’étouffent un peu.
J’ai un peu de travail dans ce massif pour redonner un peu d’air.
Tutti-Fruti
Au potager, un aster violet foncé anime le massif. Lui aussi, j’ai oublié de le noter dans mon cahier. Il est là depuis avant 2015 et c’est un régal tous les ans.
Il y a aussi mon aster rose, que j’ai au jardin depuis 2001.
Les Tonnelles
C’est le massif des Mauves. J’ai installé beaucoup d’asters dans ce massif, surtout des beaux bleus comme « Monch ». J’en ai perdu pas mal aussi.
Mais le massif est bien rempli.
Au début des Tonnelles, pour accompagner les dernières roses de « Rhapsody in Blue » et le dahlia « Crême de cassis », un petit aster « Pilou », très lumineux. Et entre le rosier et le dahlia, l’aster « Jenny », qui devait être nain et rose fushia. Il est devenu grand et rose pâle. Ca me va.
Derrière le rosier, j’ai installé en 2012 l’aster nb « Marie Ballard », bleu-violacé à grandes fleurs. A coté, c’est installé une version de la même couleur, mais plus chargé en fleurs comme l’aster laevis « Calliope » installé plus loin.
Au milieu des Tonnelles, c’est justement l’aster « Calliope » qui fait le buzz, accompagné par un aster nb violet foncé et devant l’aster nb « Fuldatal » très foncé aussi.
Au bout des Tonnelles, en lien avec le Massif aux Papillons, c’est un joyeux mélanges d’asters.
Tout en haut, un pied d’aster na rose moyen, joli semis naturel pour accompagner l’aster nb « Carmen » rose vif. Devant, j’ai installé un semis naturel d’aster na mauve avec un beau coeur orange. Et au bout, c’est le très lumineux aster ageratoides « Ezo Murazaki », qui reste bas mais forme un grand coussin.
Massif aux Papillons
Dans le massif aux Papillons, j’ai installé mon aster rose et aussi 2 beaux asters na : l’aster « Violetta » qui joue avec la lumière et le très foncé « Wolkonski ».
Butte du Pêcher
J’ai encore oublié (enfin surtout pas trouvé le temps) de tailler l’aster na « Rubinshatz » rose très foncé. Nous en profitons de loin.
Au premier plan, encore mon aster rose. Et derrière le Pêcher, deux asters na roses, « Quinton Menzies » et « Denise ». Ils me font plein de bébés mauves.
Massif du Seringat
Ici, ce sont les asters blancs qui font le spectacle.
Couché par le poids des fleurs, l’aster nb « White Ladies » nous offre des grandes fleurs blanches au coeur jaune. Et caché derrière lui, l’aster divaricatus termine sa floraison qu’il a commencé en août.
Au milieu, du massif, c’est l’aster lateriflorus « Chloë » avec ses nombreuses petites fleurs blanches avec un coeur rose.
Caché dans le petit prunus, un aster nb victoria blanc double. Derrière lui, le super aster ageratoides « Ashvi ».
Too Much
Du coté de Too Much, un aster survit malgré l’ombre des bambous, c’est l’aster nb « Fellowship » aux longs pétales rose tendre.
Les autres asters installés derrière l’hydrangea quercifolia ont disparu.
Overdose
En face, ce sont les asters blancs qui font le spectacle.
L’aster ericoides « Herbstmyrte » aux petites fleurs blanches accompagne le petit aster nb « Schneekissen » et l’aster pringlei « Monte Cassino » qui ne m’a fait qu’une seule tige cette année.
Le long de la Haie
Il y a bien sur mon aster rose, mais je trouvais qu’il en manquait. J’en ai installé d’autres mais ils ont disparu sauf l’aster ericoides « Esther », mais même lui a du mal.
Trop d’ombre, ou trop d’herbe aux goutteux. Je ne sais pas pourquoi. Mais du coup, ça manque un peu de couleur.
Bon je me réconforte en pensant aux autres massifs qui sont bien colorés avec les asters.
Merci à ces belles étoiles de l’automne.
Chrysanthème et compagnie
En ce 1er novembre, comment ne pas parler des chrysanthèmes, fleur symbolique de la Toussaint.
Annuels ou vivaces, les chrysanthèmes apportent de la couleur au coeur de l’automne, quand les autres floraisons disparaissent.
Un plaisir au jardin.
Je vous emmène pour un petit tour au jardin pour profiter des chrysanthèmes et aussi d’autres beautés qui ont apprécié la douceur d’octobre.
La Terrasse
Sur la Terrasse, 3 potées de chrysanthèmes apportent de la couleur.
Carré Gauche
Pas de chrysanthème dans Carré Gauche.
Le massif est rempli par le rosier « Sunny Rose » qui continue sa floraison accompagné du géranium « Kashmir Blue ».
Carré Droit
Du coté de Carré Droit, c’est toujours l’heuchère « Caramel » qui tient la vedette, même si en cette saison elle est plus verte que caramel.
Au fond, le camelia « Dr King » nous promet une floraison généreuse. Il n’avait pas fleuri en 203, surement trop assoiffé par l’été 2022.
Sous-Bois
Cette année, le Sous-Bois est bien rempli. Même si l’année a été plutôt sèche, les pluies de l’été et de l’automne ont permis au feuillage de résister.
Et cette année, je peux profiter de la floraison de l’hortensia « Vanille-Fraise ».
Kiwano
Kiwano explose de couleurs.
Lors de l’agrandissement de l’automne 202, j’avais installé 2 chrysanthèmes.
Pour contraster avec l’acer palmatum « Sango-kaku », j’ai installé le chrysanthème « HerbstBrokat », orange cuivré.
Même s’il attire l’oeil, il reste d’autres beautés à apprécier comme l’ helenium « Baudirektot Linne », jaune et rouge, et le cosmos sulfureux, orange vif.Pour continuer dans la couleur, le petit cornus « Magic Flame » nous offre son feuillage jaune et vert, sur son bois rouge.
La vue dans l’autre sens est aussi colorée.
De ce coté, c’est le chrysanthème « Dernier soleil » qui fait le spectacle depuis fin aout.
Overdose
Il y a encore de belles couleurs du coté de Overdose.
Caché au milieu du massif, le chrysanthème « Poésie » nous offre ses fleurs blanches depuis 2013.
Au bout du massif, une autre beauté anime le massif : c’est le Miscanthus « Morning Light ».
Au bout de la Haie
L’acer palmatum « Peve Chameleon » attire l’oeil de loin.
De près, je m’étonne de la floraison de l’azalée en ce début novembre et je savoure.
Massif du Seringat
Le massif prend de belles couleurs automnales.
Dans le coin, je profite de la floraison du fushia riccartonii.
De l’autre coté, le petit prunus « Kojo No Mai » nous offre sa fanaison en orange.
Butte du Pêcher
La butte est encore couverte de rose et jaune.
En plus de la floraison des rosiers, il reste quelques beautés à admirer comme l’onagre jaune et le geum « Prettycoast Peach »
De l’autre coté, c’est le chrysanthème « Poésie rose » qui tient la vedette.
Une jolie floraison rose pale.
Massif aux Papillons
Le massif semble triste de loin.
De près, il reste quelques beautés mauves à admirer, comme les fruits du Callicarpa bodinieri « Profusion » accompagnés par une sauge et la giroflée mauve.
Les Tonnelles
Du coté des Tonnelles, il y a encore pas mal de couleurs.
Les dahlias sont encore généreux et accompagnent les roses de « Rhapsody in blue » et le petit aster « Ezo Murazaki »
Au fond, la clématite « Orange Peel » continue sa floraison
Par contre, les Tonnelles qui la portent se sont complètement effondrée. Coup de chance, elles ne sont pas tombées sur le massif.
Les nouvelles Tonnelles sont arrivées. Il faut que je m’occupe de les traiter (huile de lin + essence de térébenthine) et ensuite nous pourrons les mettre en place avec Grand Chef.
Et ensuite, je pourrais m’occuper des plantations le long de la clôture. J’ai déjà pas mal d’idées, sans oublier les chrysanthèmes.
Tutti-Fruti
Pas de chrysanthème au potager.
Mais il reste quelques floraisons pour animer.
Derrière la Piscine
Le massif a pris ses couleurs d’automne.
Je me dis qu’ici aussi, je pourrais jouter un chrysanthème pour accompagner les dernières floraisons.
Sur la Terrasse
Je finis mon tour de Jardin par la Terrasse.
Les rosiers nous offrent quelques dernières roses.
Finalement, en rédigeant cet article, je me dis que les chrysanthèmes ont vraiment leur place au Jardin et que je pourrais installer encore quelques uns pour agrémenter l’automne.
J’ai repéré quelques espaces vides et je vais mettre un petit mémo pour mes achats d’automne 2024.
Premier printemps de Kiwano
A l’automne, j’ai démarré l’agrandissement du massif Kiwano.
J’ai bien sur installé quelques bulbes pour le printemps. L’hiver a été calme.
Avril
Et avec le printemps, les premiers bulbes animent le massif.
Le forsythia donne le ton.
L’acer palmatum « Sango-kaku » commence à débourrer et apporte un belle touche de rouge.
Les narcisses « Red Devon » ont une belle présence avec leur corolle orange.
Mai
En mars, à la Fête des Plantes de Locon, j’avais orienté mes achats en rouge et orange. J’ai craqué sur des geums qui semblent apprécier mon jardin.
Le duo marche bien avec le petit narcisse odorus plenus.
Le plus rouge est le geum « Fiery Tempest ». Installé fin mars, il s’est bien étoffé.
Au centre, en version rouge orangé, un duo avec l’euphorbe « Ascot Rainbow ».
C’est le geum « Scarlet Tempest ».
Sur la partie gauche du massif, encore de belles couleurs.
L’acer palmatum nous offre son feuillage vert sur son beau bois rouge.
En duo avec le geum « Totally Tangerine » qui lui a été installé à l’automne.
Au bout du massif, les betula ont démarré leur feuillage.
Le petit acer griseum commence juste son débourrage.
De l’autre coté du massif, à l’automne, j’avais commencé à dégager le gazon devant le betula pour y installer un pied d’hémérocalle.
Au printemps, j’ai ajouté le geum « Princess Juliana », orange.
Un peu de recul pour profiter de la vue complète.
Les boutures d’heuchère avaient souffert avec la sécheresse de 2022, j’avais beaucoup de doute quant à leur reprise à l’automne.
Elles semblent maintenant bien parties.
Je suis ravie du résultat au printemps.
Je voulais installer du Orange au jardin et j’ai choisi de l’associer avec du rouge et du jaune. Le résultat me plait bien.
Attendons l’été pour profiter des roses et des hémérocalles.
Le temps des Hellebores
Depuis février, ils sont les rois du Jardin.
Ils apportent de la couleur alors que les journées sont encore fraiches et grises.
Ce sont les Hellebores bien sûr.
Les Hellebores sont présents au jardin depuis 2003. Les premiers arrivés étaient des hellebores orientalis rose foncé. En 2007, j’ai découvert la pépinière de Thierry et Sandrine Delabroye. Et les variétés doubles sont arrivées au Jardin, puis les coeurs d’Anémone et tant de beautés.
Allez, je vous emmène en profiter.
Carré Gauche
Au bord de la Terrasse, le massif Carré Gauche est couvert d’hellebores jaune. A l’origine, j’y ai installé en 2007 un pied jaune de chez Delabroye. Puis en 2008, un deuxième pied jaune simple acheté en jardinerie.
Les 2 pieds se sont généreusement multipliés. J’enlève tous les ans les plants en excès et aussi ceux qui ne sont pas jaunes.
Le résultat est lumineux et joyeux.
Avec une grande variété de fleurs, simples ou doubles, à coeur vert ou pas, avec des petits points rouges…
Carré Droit
Dans Carré droit, j’ai installé un pied d’hellebore jaune double en 2007 à la création du massif.
Le pied est devenu imposant et masque l’hellebore saumon en arrière plan.
Au SouS-Bois
C’est au Sous-Bois que j’ai installé un des premiers hellebores rose à coeur vert.
Depuis, j’ai installé d’autres hellebores qui se sont hybridés et ont donné de jolis bébés.
Plus loin, devant le lonicera, j’ai installé des hellebores jaunes issus du massif Carré Gauche.
Une belle compagnie pour l’hellebore noir.
Beau contraste
Kiwano
J’ai agrandi le massif à l’automne et installé quelques vivaces et bulbes printaniers.
Je n’ai pas encore installé d’hellebore.
Mais il reste encore de la place …
Le long de la Haie
Au début de la haie, j’ai installé un hellebore jaune, visible de loin.
Je profite de lui depuis la maison.
J’adore son jaune si lumineux.
Plus loin, un semis spontané a bien grandi.
En fait, ce sont 2 semis qui ont grandi ensemble. Un pourpre foncé et blanc borduré rose pastel.
Un peu plus loin, j’ai installé un pied de chez Delabroye.
Je l’avais choisi pour sa grande fleur rose avec un un beau coeur pourpre et des sépales pointus qui lui donne une forme très géométrique.
Et aussi parce qu’elle se redresse et que je peux l’admirer sans me mettre à 4 pattes !
Ensuite, un semis spontané blanc accompagné par les premières jonquilles.
Un joli semis blanc et vert, avec un coeur pourpre et joliment saupoudré de petits points pourpres.
Au pied de la Tonnelle, en 2019, j’ai installé un pied d’hellebore à fleur rouge foncé et très ronde, récupéré dans un autre massif.
En 2020, une fleur blanche accompagne les fleurs rouges. En la soulevant, je découvre une jolie fleur blanche à coeur d’anémone légèrement saupoudrée de rose foncé.
Plus loin, c’est un semis qui a bien grandi et nous offre des fleurs mauve très foncé.
Une belle couleur en extérieur et un beau contraste à l’intérieur.
Sous l’hydrangea quercifolia, les hellebores se multiplient généreusement dans les teintes mauve foncé.
Avec des petits points plus ou moins marqués.
Too Much
Du coté de Too Much, les hellebores ont teintes foncées pour accompagner les ophiopogons.
Les feuilles séchées des bambous forment un fond clair qui met bien en valeur les fleurs presque noires.
Pour adoucir, j’ai installé un pied rose pâle double, récupéré au jardin.
Overdose
En face, dans Overdose, c’est le massif des blancs.
Et il est bien animé même en cette saison.
Et au centre, un pied d’hellebore, bien sûr.
Blanc double à coeur vert.
Un achat Delabroye de 2020 qui s’est bien installé.
A la place des Rhododendrons
Avec la disparition des rhododendrons, l’hellebore jaune s’est étoffé et forme une belle touffe.
Pour le mettre en valeur, deux heuchères aux teintes contrastées
Heuchère « Frosted violet » et « Citronelle ».
Au bout de la Haie
Le bout de la haie est animé de couleur pétillante.
Le nandina domestica et l’acer « Peve Chameleon » se font remarquer.
Mais il a aussi les hellebores qui se font remarquer, comme ce pied installé en 2013.
Je craque sur ses grandes fleurs rouge-framboise qui se tiennent bien droites.
Et puis, pour lui tenir compagnie, un pied jaune.
Je l’ai installé en même temps que le rouge, mais il est plus petit.
Ses fleurs se redressent aussi un peu et nous offrent un coeur orange souligné par des petits points rouges.
Massif du Seringat
Ici, c’est le massif des blancs et rouges-framboises.
Les hellebores sont bien surs dans le ton, en rouge et blanc.
En blanc avec quelques touches de rouge.
Ou totalement rouge, comme sur celui-ci installé depuis 2010.
Et au fond du massif, un rose issu de semis à très grandes fleurs.
Butte du Pêcher
La butte du Pêcher est couverte d’hellebore en jaune et rose.
De ce coté du massif, j’avais installé un hellebore jaune pale à coeur d’anémone en 2010.
Il a toujours été un peu grêle, mais m’a offert plein de bébés. Comme ce beau jaune double.
Mais aussi, découvert cette année, un orangé à coeur d’anémone
Par contre ce double est un achat Delabroye 2020. Jaune nervuré rose foncé.
A l’avant du massif, un pied rose foncé.
Au pied du Pêcher, j’avais installé 2 pieds d’hellebore double rose, un clair et un foncé.
Ils se sont bien multipliés pour mon plus grand plaisir.
Sur la butte, j’ai installé en 2020 3 pieds d’hellebore jaune.
Simple et contrasté. Double ou à coeur d’anémone. Quelle variété.
Massif aux Papillons
Du coté du massif aux Papillons, les hellebores sont plus discrets.
Il faut se rapprocher du pied du budleia pour y découvrir 2 hellebores.
Une fleur géante et un coeur d’anémone.
Les Tonnelles
Dans le massif des Tonnelles, il y a peu d’hellebore car ce massif est en plein soleil.
Mais en 2020, j’ai installé 2 pieds d’hellebore à l’arrière du massif. Un double blanc nervuré de rose foncé.
Et un double rouge foncé.
Avec un petit look frou-frou.
Derrière la piscine
Le forsythia commence sa floraison.
Au pied du forsythia, beaucoup d’hellebores variés issus de semis spontanés.
Cette année, c’est un pied rose tendre, légèrement orangé qui attire mon attention.
Pour accompagner tous les hellebores, il y a quelques beautés.
Mini jonquilles, crocus et euphorbe purpurea.
Pour finir mon tour, je savoure la vue générale sur le jardin.
Et je rentre avec des hellebores plein la tête.
Je suis fan de cette plante qui nous apporte autant de couleur dès février.
Et vous ?
Potées d’été
En cette période chaude et sèche, difficile de maintenir les potées d’été.
Depuis quelques années, j’ai abandonné les belles potées de pétunias, pensées et autres annuelles. Je ne suis pas assez assidu aux arrosages et le résultat était souvent catastrophique.
Par contre, pas question d’abandonner pour autant les potées près de la maison.
La solution : les plantes grasses, sedum, sempervivum …. Attention c’est vite addictif !
Appui de fenêtre
Dès que je sors au jardin, je profite des potées sur l’appui de fenêtre. C’était mon premier essai de potée avec des sedum âcres et des joubardes.
Les joubardes se sont bien installés. Je les ai déjà divisés plusieurs fois.
J’adore leur couleur vert tendre avec les pointes bordeaux.
Pour accompagner les sedum âcres, j’ai trouvé un Crassula sarcocaulis, un crassula qui résiste à -12°C.
Et en plus il a une jolie floraison rose.
Juste à coté, une potée de sedum pourpre.
A la suite, 3 pots de sedum en mélange.Dans la première potée, le sedum kamtschaticum s’est bien installé est forme un joli coussin.
Sur l’appui de fenêtre suivant, j’ai recyclé une cafetière, peut-être un pot à lait.
Pour agrémenter une autre fenêtre, j’ai installé des sedum vert et pourpre avec un lewisia.
Devant la dernière fenêtre, j’ai installé des sedum jouflus qui viennent de finir leur floraison.
Quel plaisir de profiter de ses beautés sans se baisser !
Sur la Terrasse
Eté 2021, je suis revenue de vacances avec quelques beautés, bouturées avec amour par des amis.
Je leur ai trouvé des pots en terre et les ai installé sur la Terrasse au soleil toute la matinée. Comme elles craignent les gelées ( limite à -4°C), elles ont passé l’hiver dans la serre froide et bien résisté cet hiver. Elles sont en pleine forme cet été.
Il y a 2 variétés d’aeonium arboretum.
J’ai aussi récupéré des boutures de sedum palmeri et Belle-maman m’en a offert une belle potée. Celui-ci résiste jusque -9°C et peut rester dehors.
Sur la table de la Terrasse, j’ai recyclé une vieille passoire en alu en y installant quelques nouveautés.
L’haworthia forment des rosettes aux feuilles triangulaires.
Pour des formes plus rondes, il y a l’Echeveria ( 5°C) et un sedum clavatum (-4°C). Il faudra les rentrer cet hiver.
J’adore les teintes bleutées de l’Echeveria et j’attends avec impatience sa floraisons orange.
Autour de la cabane
Sur la table devant la cabane, j’installe depuis plusieurs années des pots de crassula issus de bouture de plant de la maison.
Il faut bien sur les rentrer l’hiver, mais ils supportent de passer l’hiver dans la serre froide. Et je les ré-installe après les Saints de Glace.
Il y a des boutures de mon crassula ovata « Gollum » et 2 autres variétés sans nom.
En extérieur, ils prennent des teintes rouges sur le bout des feuilles.
Devant la cabane, j’ai installé des pots de crassula qui étaient à l’étroit dans un petit pot dans la maison.
Ils semblent se plaire, mais eux aussi devront être rentrés cet hiver.
J’avoue, j’apprécie depuis longtemps ces beautés. J’en ai quelques unes à la maison, mais je manque de place. Alors en profiter au jardin, c’est un moyen de profiter encore plus.
Et puis, elles sont tellement faciles à vivre : une terre légère (donc en pot car ma terre est trop argileuse) et du soleil. Et arrosage une fois par semaine en grande période de sécheresse.
Quel bonheur !
Iris et Ancolie
En mai, le jardin est bien fleuri.
C’est le moment de profiter des ancolies et des iris.
Des Ancolies à gogo
J’adore les ancolies. Elles ont fait partie des premières vivaces installées au jardin. Et depuis, elles s’hybrident et se sèment dans tous les coins du jardin.
Je vous emmène au pays des jolies jupons colorés du coté des Tonnelles.
Dans le massif des Tonnelles, j’ai installé des ancolies bleues simples ou à coeur blanc.
Depuis elles se sont hybridées et nous offrent des dégradés de mauves.
Les ancolies roses sont au jardin depuis longtemps aussi.
En rose pâle, quelques jolis semis se sont installés. J’ai aussi installé des variétés plus originales roses à coeur blanc.
En 2008, j’ai installé l’ancolie double « Clementine Red », entre rose et rouge. Depuis elle m’a donné de beaux bébés doubles en rose ou en bleu très foncé.
Dans Overdose réservé aux blancs, j’ai installé l’Ancolie « Spring Magic white » en 2020. Cette année, elle forme une belle touffe.
J’espère qu’elle me fera plein de beaux bébés.
Il existe aussi des ancolies jaunes. En 2010, j’ai installé l’Ancolie « Yellow queen ». Je ne l’ai pas encore vu cette année. Et je n’ai jamais eu de bébé jaune. Etrange.
Pour les autres couleurs, les semis sont nombreux et variés en teinte. Une surprise chaque année.
Iris
L’autre beauté du moment est l’iris.
Avec l’iris aussi, il y a le choix de couleurs et mêmes des formes différentes suivant la variété.
Iris de Hollande
Un des premiers arrivés au jardin est l’iris hollandais.
C’est un bulbe qui se satisfait de ma terre lourde et offre une large gamme de couleurs.
Version blanc ou bleu avec toujours une macule jaune.
J’ai aussi installé des variétés plus originales comme « Gyspy beauty », en bleu, mauve et jaune.
Et pour tenir compagnie au beau rosier « Tradescant », j’ai craqué en 2016 pour l’iris « Ambre rouge ».
Iris pallida
C’est un cadeau de belle-maman tout au début du jardin.Je l’ai d’abord installé Butte du Pêcher, puis quelques années plus tard, je l’ai déplacé aux pieds des Tonnelles. Et depuis, ils se promènent dans le massif et m’offrent de nombreuses fleurs très parfumées.
J’adore quand le soleil passe au travers de ses pétales si fins.
Iris germanica
C’est surement le plus connu avec ses grandes fleurs très colorées. Pendant des années, j’ai essayé d’en installer au jardin notamment en 2002. Je les ai tous perdus. Sauf un qui est réapparu en 2016. C’est
C’est « Cranberry Ice » de chez Cayeux.
Cette réussite m’a remotivé sur ce type d’iris et j’ai accepté des rhizomes du jardin de mon père en Lozère. Pas la même terre du tout. Mais avec le changement du climat, mon jardin est moins détrempé en hiver. J’ai tenté.
Et les rhizomes se sont installés pour mon plus grand plaisir.
Mon père n’a pas noté les noms mais avait quand même référencé ses variétés. Celle-ci est rose et pourpre est a trouvé sa place dans le Massif aux Papillons.
Pour celui-ci, Papa avait noté « Iris de collection ». Je l’ai installé dans le massif Derrière la Piscine l’automne de 2019.
Cette année, il forme une belle touffe. Sa couleur est originale et il est parfumé.
Et en regardant bien au milieu de la touffe, j’ai découvert cette année une autre variété, bien plus haute. La fleur est plus grande et très contrastée.
D’autres variétés de Papa ont fleuri l’année dernière. Mais pas cette année. Je ne désespère pas car certains plans semblent bien installés.
Iris de Sibérie
En 2013, je croise l’Iris sibirica « Caesar’s brother ». Il est plus petit mais quel charme.
J’ai aussi une version offerte par une amie jardinière au feuillage mauve. Le voilà au mois d’avril.
Depuis, il est un peu masqué par ses voisins mais reste graphique.
Franchement, ancolie et iris, peu importe leur nom sont de chouettes ambassadeurs du mois de mai.
Hellebores de toutes les couleurs
J’adore Février.
Les jours rallongent. Mais surtout, les hellebores sont en fleur. Et ça, c’est le plus grand plaisir de Février !
Alors je vous emmène profiter des couleurs du moment.
Carré Gauche
Ce massif près de la Terrasse est le plus visible de la maison.
Alors quand j’ai créé ce massif en août 2006, je voulais qu’il apporte plein de soleil.
J’avais déjà quelques hellébores au jardin, des orientales roses, des niger blanches et une petit pied à fleur jaunâtre/vert.
Alors en février 2007, j’ai fait ma première virée à la pépinière de Thierry et Sandrine Delabroye en espérant découvrir quelques beautés. Je suis revenue avec quelques beautés dont une jaune à coeur vert.
Depuis, les semis spontanées ont été généreux et généralement jaunes. Coté forme, la Nature me gâte avec quelques versions à coeur d’anémone ou des doubles à points rouges.
Carré Droit
Dans Carré droit, j’ai installé un de mes achats de 2007. Un beau jaune double jaune.
Pour lui tenir compagnie, je cherchais un hellebore orangé, comme le mur en brique. J’ai trouvé mon bonheur en 2017 chez Delabroye.
Cette année, il est plus rose que saumon. Mais j’ai apprécié son beau feuillage jaune tout l’hiver.
Sous-Bois
J’ai installé le premier plant d’hellébore au Sous-Bois en 2004. C’était un hellebore rose à coeur vert, simple.
En 2010, j’ai installé 2 autres plants. Un pourpre très foncé qui n’est pas encore en fleur. Et un rose foncé à coeur d’anémone avec le dessous des tépales blanc argenté.
Ici aussi, j’ai eu plein de jolis bébés.
Le long de la Haie
J’ai un point de vue depuis la maison sur le début du massif Le Long de la Haie et j’ai envie que ce soit lumineux pour en profiter de loin.
Alors j’ai installé au sol le beau lamium « Gold Nuggets » et pour un peu de hauteur, j’ai installé un pied d’hellébore jaune foncé double.
Il a eu un peu de mal à s’installer. Je crois que je l’ai installé trop profond. Je vais profiter de sa floraison et ensuite je le replanterai plus en surface.
Plus loin, un semis spontané isolé qui nous offre des fleurs rose pâle à coeur pourpre. Une belle scène avec en premier plan le feuillage des bergénias.
Plus loin, il avait encore de la place. En 2017, je craque sur une version rose à coeur pourpre avec des fleurs bien redressées et visibles de loin.
Plus loin, devant l’hortensia, quelques hellebores apportent de la couleur.
A droite de l’hortensia, j’ai installé 2 hellebores, un rouge simple et un blanc à coeur d’anémone, légèrement borduré de rose foncé, tous les 2 sont issus du jardin. A gauche, un semis spontané dans les tons noirs/pourpre.
Après l’hortensia, sous l’hydrangea quercifolia, les hellebores se sont multipliés dans des teintes roses, avec ou sans points et forment un beau tapis fleuri.
Too Much
Du coté de Too Much, les hellebores sont bien installés aussi.
Avec la présence d’un pied presque noir dans Too Much, des semis pourpre très foncé s’installent dans le massif et tiennent compagnie aux ophiopogons. Pour adoucir, j’ai installé un bébé du jardin à fleur rose pâle double.
De l’autre coté du massif, le pied noir que j’ai installé en 2012 et un saumon double acheté en 2020.
Overdose
En face dans le massif Overdose, c’est le massif des blancs.
Alors j’ai installé en 2020 un plant à fleur double blanc.
Ancien massif de Rhododendron
Le massif a été revu en 2021.
Le pied d’hellebore jaune a apprécié et contraste avec l’heuchère « Frosted Violet ».
Du forsythia aux azalées
C’est le massif des contrastes rouge/jaune. J’ai installé 2 hellebores très différents au niveau de la couleur.
Un pourpre rouge foncé, à grandes fleurs plutôt dressées et un petit jaune à coeur rouge.
Massif du Seringat
Le Massif du Seringat s’habille de blanc et framboise avec les hellebores.
2 pieds installés en 2010 m’ont offert plein de jolis bébés en blanc et rouge framboise.
Quel plaisir de découvrir les petits nouveaux.
Pour les blancs, il y a aussi le choix avec une version simple à petits points ou une version achetée en 2020, double blanc borduré de framboise.
Butte du Pêcher
La butte du Pêcher est réservée aux roses et jaunes. Il y a de quoi se faire plaisir avec les hellebores.
Dès 2007 aux pieds du pêcher, j’ai installé 2 pieds d’hellébores doubles, un rose foncé et un rose pâle. Et depuis, je me régale chaque année.
Des bébés doublent s’installent partout dans le massif et m’offrent de jolies scènes.
J’ai aussi installé des pieds jaunes. Tout d’abord un jaune pâle à coeur d’anémone en 2010.
Et en 2020, j’ai craqué sur 4 pieds jaune plus soutenu. Un double jaune, un double veiné rose et un jaune guttatus.
Il y a aussi une version jaune foncé à coeur d’anémone mais pas de photo.
A l’arrière du massif, j’ai découvert un bébé fort intéressant : blanc double veiné de rose.
Je vais le déplacer pour le mettre en valeur dans un autre massif.
Les Tonnelles
Depuis peu, j’ai installé quelques pieds d’hellebore dans le Massif aux Papillons et les Tonnelles.
Ces massifs sont en plein soleil et j’ai attendu d’avoir de l’ombre pour protéger les hellebores l’été.
En 2017, j’ai installé un beau bébé issu du jardin : un pourpre noir à coeur d’anémone.
Dommage qu’il nous cache ses fleurs car je les trouve magnifiques.
Du coté des Tonnelles, j’ai installé 2 achats en 2017. Tout d’abord un double pourpre foncé avec pétales plutôt fins.Et un double blanc taché rose avec des pétales plutôt larges.
Derrière la Piscine
Dès 2007 et la création du massif, j’ai installé des hellebores : 2 pieds ! Un achat rose pâle guttatus que j’ai installé à droite du forsythia.
Et à gauche, un hellebore qui vient du jardin de la grand-mère de Grand Chef. Un petit spécimen jaune verdâtre.
Et depuis, les bébés se sont multipliés et ont bien grandi. Et quelle variété !
Les couleurs varient du jaune au rose pâle et même rouge foncé. Je retrouve des bébés fort ressemblant à des hellebores à l’opposé du jardin. C’est génial.
Quel plaisir de retrouver les Hellebores.
Ils annoncent le réveil du jardin et déjà d’autres beautés viennent leur tenir compagnie.
Explosion d’étoiles
Après cet été pas trop chaud et bien hydraté, le jardin est en pleine forme et très coloré.
Pour réveiller le jardin en ce moment, on peut compter sur les asters et leur multitudes de fleurs colorées.
Je vous emmène au pays des étoiles d’automne.
Le long de la Haie
C’est le premier endroit où j’ai installé un plant d’aster. Il s’est bien installé et je l’ai divisé et installé un peu partout au jardin. Voilà comment j’ai mis le nez dans les étoiles.
Depuis peu, j’ai installé d’autres asters pour lui tenir compagnie, comme l’aster dumosus « Bahamas » au fleur rose très soutenu
et aussi l’aster ericoides « Esther » à petites fleurs rose tendre.
Too Much
Pour accompagner l’hydrangea quercifolia « Snow Flake », des étoiles rose tendres.
C’est l’aster nb « Fellowship » aux nombreux pétales longs et fins, qui lui donne un air froufroutant.
Massif du seringat
Le massif du Seringat est bien coloré avec les asters.
Celui qui se fait remarquer de loin, c’est le grand aster « White Ladies ».
J’ai aussi une autre variété blanche double, sans nom et aussi le bel aster laterifolius « Chloë » à petites fleurs blanches à coeur rosé.
Butte du Pêcher
La butte est colorée de rose et de jaune. Ici aussi, les asters sont bien représentés.
Celui qui couvre la moitié du massif, c’est l’aster na « Rubinshatz » rose fushia qui attire le regard et les papillons.
De l’autre coté du massif, un autre géant, l‘aster na « Quinton Menzies » rose tendre
Massif aux Papillons
Ici aussi, les asters sont bien installés. J’en ai encore ajouté à l’automne, un petit mauve-rose lumineux !
Le petit dumosus « Nesthakchen ».
Déjà en place depuis 2016, l’aster na « Wolkonsky » s’est bien installé et nous offre ses grandes fleurs violet très foncé.
C’est le plus foncé du jardin !
Mon petit aster rose reste le plus tendre, pour une compagnie toute en douceur avec la rose « Novalis ».
Les Tonnelles
Du coté des Tonnelles, les mauves éclosent. Avec les asters, la gamme des mauves est généreuse.
Le long de la première tonnelle, l’aster bleu « Marie Ballard » tient compagnie à la clématite « Orange Peel ».
Au pied du rosier « Rhapsody in Blue », un petit nouveau installé à l’automne, l’aster « Pilou » .
Entre les tonnelles, un très vieux aster nb violet foncé attire tous les insectes et surtout les papillons.
Sous les tonnelles, l’ambiance est colorée.
A droite, un nouvel aster installé à l’automne, l’aster « Calliope » aux petites fleurs lila et au bois presque noir.
Et à gauche, l’aster « Fuldatal » installé en 2010 est toujours très généreux avec ses grandes fleurs violet foncé et forme un beau duo avec le dahlia « Blue Boy ».
Et sous le budleia, un assortiment de mauves.
Avec en autre le bel aster na « Violetta ». J’adore sa couleur.
Tutti-Fruti
Au potager, les fleurs sont en pleine forme. Coté légumes, c’est plus calme. Mais toujours coloré !
Et bien sûr, il y a aussi un bel aster à grande fleur violet foncé pour trancher avec la rose orange fluo
Derrière la Piscine
Ici aussi, le massif est encore bien coloré avec le rosier « Yann Arthus Bertrand ».
Et pour l’accompagner encore un aster na d’un rose tyrien, tellement lumineux qu’il brille sur la photo. C’est « Alma Potschke ».
Allez, juste pour le plaisir avant de rentrer.
Avec la compagnie des asters, c’est parti pour quelques semaines d’étoiles colorées.
Histoire d’ Hémérocalles
Après ce printemps plus humide et frais que ces dernières années, le jardin est plutôt en forme et bien coloré.
Et pour la couleur en ce moment, on peut compter sur les hémérocalles ou lys d’un jour. Elles sont présentes depuis très longtemps au jardin, des très classiques comme « Stella de Oro » et « Summer Wine » et d’autres sans nom mais aussi très belles.
Je vous emmène …
Bien installées
Carré Gauche
Depuis 2006, je savoure le duo entre l’hémérocalle « Green flutter » et le géranium « KashmirBlue ».
Overdose
Du coté des blancs, le massif est bien rempli.
Mais les hémérocalles sont colorées par nature et difficile de trouver un vrai blanc. J’ai installé l’hémérocalle « Joan Senior » en 2015, d’un jaune très pâle.
Et au printemps 2019, j’ai installé « Artic Snow ». Elle a eu du mal à s’installer, mais en 2021 elle daigne m’offrir ses premières fleurs. Elle devait être ivoire.
Elle est plutôt jaune pâle que ivoire. Mais elle ne choque pas dans le massif des blancs.
Too Much
En face dans Too Much, c’est l’hydrangea quercifolia « Snow Flake » qui tient la vedette.
Et pour accompagner en douceur les magnifiques panicules de l’hydrangea, l’hémérocalle « Jean Swann » nous offre ses fleurs crême rosée.
Au bout de la Haie
Plusieurs hémérocalles colorent le massif. D’abord l’hémérocalle « Summer Wine » que j’ai déjà divisé plusieurs fois. Et une autre sans nom mais d’un rouge profond.
Massif du Seringat
Ici, c’est le blanc et le rouge framboise qui animent le massif.
Le rosier « Twist » m’offre sa première floraison généreuse depuis son installation au printemps 2018. J’adore le duo avec les astrances. Pendant ce temps, le rosier « Mamounette d’Amour » installé à l’automne est déjà bien en fleur.
Ici aussi, les hémérocalles sont bien installées, même si j’en ai déplacé.
Hémérocalle « Carolina Cranberry » rouge framboise, Hémérocalle « Catherine Woodberry » rose pâle et Hémérocalle « Dream Legacy » en crême et pourpre.
Butte du pêcher
Sur la Butte du Pêcher, un pied d’hémérocalle choque au milieu des roses et jaunes.
A l’automne, je vais le déplacer dans un massif aux teintes plus chaudes.
Les Tonnelles
Du coté des Tonnelles, les mauves sont bien installés.
Ici aussi, les hémérocalles sont bien installées.
Hémérocalle « Chinese Temple Flower » et Hémérocalle « Strutter’s ball » en provenance de Guénolé Savina et au jardin depuis mai 2015. Et aussi une Hémérocalle « Super purple » que j’ai récupéré de la Butte du Pêcher en 2015.
Tutti-Fruti
Le potager est aussi bien coloré.
Ici aussi, les hémérocalles apportent de la couleur.
Derrière la Piscine
A l’automne, j’ai déplacé 2 hémérocalles qui étaient privés de lumière.
Elles sont très en forme. L’hémérocalle « David Kirchhoff » a même des couleurs bien plus soutenues qu’avant.
Et la belle sombre, l’hémérocalle « Night Embers » fait moins de fleurs doubles, mais garde sa couleur si profonde.
Mes semis
En 2017 suite à un échange de graine, j’ai récupéré 2 lots de graines d’hémérocalle, 1 lot de Guénolé Savina et 1 lot d’ Antoine.
L’année dernière l’hémérocalle « Antoine » a fleuri en pot et cette année, elle confirme sa couleur rose orangé.
Et cette année, pour la première fois, le plan unique issu des graines de Guénolé m’offre ses premières fleurs.
OUAH ! Quelles couleurs ! Jaune borduré de bordeaux avec un beau dessin bordeaux. Il va falloir lui trouver une place de choix au jardin.
Achats 2020
A l’automne 2020, j’ai commandé quelques beautés chez Guénolé Savina. J’ai pris 10 plants et Guénolé en a ajouté un. Les plants sont arrivés tardivement début novembre. J’ai tout installé, il faut dire que j’avais eu le temps de réfléchir ! Il restait juste 2 plants sans place que j’ai installé d’abord en pot, puis au jardin au printemps.
Sur les 11 plants, $$ ont fleuri.
Butte du pêcher
Pour compléter les floraisons en rose et jaune, j’ai installé 3 hémérocalles.
J’ai d’abord installé une jaune avec un beau dessin pourpre.
La première fleur était jaune, mais les suivant étaient plutôt blanches avec un saupoudrage jaune pale.
La deuxième hémérocalle est aussi dans les jaunes, avec des nuances de rose et des pétales frisotés.
Le résultat est très joli en vrai.
La 3ème hémérocalle n’a pas fleuri. Elle devrait être rose.
Massif aux Papillons
Pour accueillir les hémérocalles, j’ai un agrandi le massif. Et puis, c’est mieux pour la tondeuse de Grand Chef.
Ici, j’ai installé 2 hémérocalles dans les tons mauves.
Il me manque le dessin mauve mais j’adore le contraste avec le coeur vert.
Pour la 2ème, je suis moins emballée.
Rose orangé à dessin violet, elle m’a fait de l’oeil. Mais le résultat est très décevant et franchement criard au milieu des mauves. Je vais lui trouver une meilleure place.
Les Tonnelles
Du coté des Tonnelles, j’ai déjà plusieurs hémérocalles aux teintes pourpres foncées. Alors j’ai choisi des hémérocalles aux teintes plus claires.
Voilà une belle rose foncée au coeur jaune. Dommage j’avais choisi un lila rose très pastel !
Celle-ci est une des dernières à me présenter sa frimousse. Mais quelle beauté !
Elle est encore plus belle qu’en photo !
Au bout du massif des Tonnelles, j’ai installé un plan mauve au coeur vert.
Les premières fleurs ont une teinte orangée, mais les suivantes sont bien roses avec un magnifique coeur vert.
Overdose
Pour le massif des blancs, j’avais craqué sur une blanche au coeur vert et un beau dessin mauve foncé.
Elle n’est pas aussi blanche que prévue, mais son dessin est superbe et les pétales bordurés me font craqué !
Surprise
Sur les 10 plants commandés chez Guénolé, 8 ont fleuri. Pour les 2 hémérocalles qui n’ont pas fleuri, je suis un peu responsable. Pour une, je l’ai planté très tardivement et l’autre doit manquait de place là où je l’ai installée.
Par contre, Guénolé avait ajouté un plant surprise dans le carton. Elle a fleuri.
Une très jolie surprise. Haute en couleur et très lumineuse.
Voilà pour une longue promenade colorée au coeur des hémérocalles.
Le temps des Iris
Et oui, c’est le moment d’apprécier les Iris.
Ici, les premiers arrivent début mai et les derniers sont là mi-juin. Du plaisir qui dure !
Au jardin, j’ai installé plusieurs variétés d’iris pour profiter des formes et des couleurs. Je vous emmène pour un petit tour.
Iris de Hollande
Cette année, les premiers sont arrivés début mai.
Cette variété est une bulbeuse qui se plait plutôt bien au jardin. J’en ai quelques variétés dans les tons bleus, jaunes ou blancs.
En novembre 2016, j’ai aussi craqué sur la variété « Ambre Rouge ». Les bulbes se sont bien installés et cette année, la floraison coïncide avec celle du rosier « Tradescant ».
Iris de Sibérie
Depuis 2013, j’ai installé l’Iris sibirica « Caesar’s brother » dans le massif des mauves. Il est bien installé et je l’ai déjà divisé. Cette année, la floraison est très généreuse.
Ils sont très fins et légers, avec des pétales très dessinés.
En le regardant, je me dis que, comme il se plait bien au jardin, je pourrais essayer d’autres variétés, en rose ou même en blanc.
Iris pallida
Ce n’est pas le plus original dans la famille des grands iris à rhizome, mais je ne pourrais pas me passer de lui.
Je craque sur sa couleur mauve pâle et son parfum envoutant.
Il s’est bien installé dans le massif des mauves et forme de belles touffes au milieu des scabieuses.
Iris d’Allemagne
C’est surement le plus connu dans la famille des iris. Les iris germanica se déclinent dans de nombreux coloris, froufroutent ou non, peuvent être parfumés.
Mais ils ne sont pas fans de ma terre lourde et humide en hiver. J’ai essayé au début du jardin et j’ai abandonné.
Mais il y a 2 ans mon père m’a donné des rhizomes de plusieurs variétés, pas forcément identifiées.
Cette année, j’ai retrouvé une variété qui avait fleuri en 2020 dans le massif Derrière la Piscine.
Pour sa 2ème année, il a été plutôt généreux.
J’avais installé quelques rhizomes sur la butte du Pêcher. L’année dernière, j’ai eu un tige avec une fleur très originale de couleur brun-rouge avec un peu de blanc que j’ai identifié comme « Cayenne Capers ». Il n’a pas refleuri en 2021.
Par contre, j’ai eu une tige d’un autre iris. Autre style avec une teinte orange pastel et quelques jolies traces mauves.
Une jolie surprise que j’espère retrouver l’année prochaine.
J’avais aussi installé quelques rhizomes dans le massif des Tonnelles. Papy m’avait identifié des rhizomes comme bleu, c’est eux que j’ai installé dans le massif des mauves. Ils ne sont pas bleus mais mauve foncé et pastel, bien assortis aux roses de « Rhapsody in Blue ».
A peine ouvert et déjà photographié !
Il reste 2 variétés qui n’ont pas fleuri depuis leur installation en 2019. Je ne désespère pas !
Alors même si ces grands barbus ne sont pas adeptes de mon jardin, j’apprécie leur présence.
Mais ma préférence va vraiment à l’iris pallida ou mauve qui est au jardin depuis au moins 2001 et qui se déplace au fil du temps pour mon plus grand plaisir.