Archive pour la categorie ‘Gros Plan’

Quelques nouveaux rosiers sont venus s’installer au jardin et m’offrent leur premières roses.

Quel plaisir de découvrir leur forme et leur couleur ….Alors c’est parti pour un petit tour !

Rosier « Princesse de Galles »

Pour mon massif « Overdose » dédié aux blancs, je cherchais un petit rosier blanc pur et parfumé !

J’avais fait une petite liste, mais j’avais prévu d’attendre le printemps.

Et puis à l’automne, le VPCiste Willemse faisait une vente dans son entrepôt. Et je suis tombée sur « Princesse de Galles » bradé à 5 euros. Difficile de résister !

Pour sa première floraison, il m’a offert 3 roses. Je les trouve très jolies, mais pour le moment, je n’ai rien senti de son parfum. Du coté de sa couleur, je suis un peu déçu car la fleur vire légèrement au rose et ce n’est pas du tout ce que je voulais pour ce massif. Il est aussi attaqué par le marsonia !

Laissons le s’installer et nous verrons bien si il se porte mieux l’année prochaine !

Rosier « Charles de Gaulle »

Celui-ci, je l’ai choisi juste pour sa couleur dans le catalogue de Meilland. Il y est décrit comme « Un magnifique rosier au coloris lilas pourpre peu commun, dont la belle fleur en forme de coupe, de 35 à 40 pétales, bénéficie d’un parfum intense et pénétrant rosé verveine citronné. »

Arrivé au jardin en novembre 2012, il n’a pas fleuri en 2013. Mais en 2014, il me fait quelques roses début juin, puis à nouveau début juillet. Sa couleur est à la hauteur de mes attentes, mais coté parfum, je n’ai rien senti pour le moment (aurais-je le nez bouché ?)

Il est bien sur installé dans le massif « Des Tonnelles » avec les mauves et les bleus.

Franchement, j’adore sa couleur !

Rosier « Summer Wine »

J’ai un nouvel espace de jeu près de la maison devant des plaques béton imitation brique. Comme cet endroit est en plein soleil, je cherchais à y installer un rosier grimpant. Pour la couleur, je voulais trouver une rose de la même couleur que mes horribles plaques. J’avais bien sur préparé une liste, mais je n’avais pas fixé mon choix.

Quand nous sommes allés à Celles au printemps, je suis allée trainer sur le superbe stand de MelaRosa et je suis tombée sur « Summer Wine » qui était sur ma liste. Avec les conseil de Jean-lin, je n’ai pas pu résister !

Pour le moment, le Rosier « Summer Wine » est installé en pot sur la terrasse car son emplacement définitif n’est pas encore prêt.

Mais je suis déjà fan de sa couleur rose pêche-abricot !

Rosier « Phyllis Bide »

Lors de notre sortie à la pépinière MelaRosa mi-juin, j’ai croisé « Phyllis Bide ». Lui aussi était sur ma liste pour grimper devant mes horribles plaques. Que faire ? Chez MelaRosa, « Summer Wine » était en fleur, j’ai donc rapproché ses 2 rosiers et vérifié que le mélange des 2 était possible. Et oui, ça devrait le faire ! Voilà comment le rosier « Phyllis Bide » a rejoint le jardin. Il est toujours en pot car l’emplacement définitif n’est toujours pas fini.

Mais il est déjà très prometteur !

Quelle floraison !

Les boutons démarrent en jaune-abricoté, puis au fil du temps la teinte jaune s’estompe pour un final en blanc et rose.

J’ai juste posé le pot devant mes horribles plaques et je le trouve très assorti ! Mais j’ai des doutes pour l’association avec « Summer Wine » ….A suivre !

Bon j’ai aussi craqué sur 2 autres rosiers « Eugénie Guinoisseau » et « Grootendorst White » que je vous ai présenté ici.

Pour quelqu’un qui n’aime pas les rosiers, je trouve que je commence à en installer beaucoup ! ! ! !

Cette année, je découvre au jardin les pivoines arbustives.

Non pas que je n’en avais pas ! Un ami m’en avait offert 3 pour mon anniversaire en 2010. Mais je n’avais jamais eu de fleur. Cette année, elles fleurissent – aux pluriels, parce qu’elles sont 2 à fleurir sur les 3 !

Comme je les connaissais pas trop, je les ai éparpillées au jardin dans différentes situations.

Derrière la piscine

Ici, la terre est lourde et en plein soleil. Je paille avec ce que j’ai. Mais elle semble se plaire.

C’ est la première à fleurir et quel parfum !

Butte du pêcher

Ici, la terre est un mélange pauvre de sable, reste d’un tas de gravât d’avant. J’ai bien enrichi mais aussi mis un peu de terre du jardin. Des pivoines herbacées se portent. Et celle-ci semble aussi apprécié.

J’adore ce gros bouton tout joufflu.

J’ai installé la troisième dans le massif du Seringat. Mais il est trop à l’ombre. Par contre, j’hésite à le bouger.

Les Tonnelles

Avec l’arrivée des boutons de pivoine, je me suis laissée tentée. Il faut dire que j’avais gagné un bon de 10 euros chez « Les jardins de Joncquoy » à Locon. J’ai craqué sur une version pourpre foncé pour mettre avec mes mauves le long des Tonnelles.

Pivoine « kokuryu nishiki », pourpre avec un léger filet blanc sur les pétales du tour.

Celle-ci est installée en plein soleil dans son pot pour le moment. A l’automne, je l’installerai en plein terre, comme me l’a conseillé le producteur, Thierry LESAFFRE

J’avoue qu’elles me font craquer…

Enfin un peu de soleil pour profiter du jardin. Le terrain est gorgé d’eau, mais tout le monde semble bien se porter.

Et les hellebores se portent à merveille ! C’est parti pour un petit tour . . .

Près de la maison

Dans « Carré Gauche », j’ai installé 2 pieds d’hellebores jaunes simples.

Depuis, plein de bébés sont apparus.

J’en enlève une partie histoire de laisser respirer les plantes en place.

Mais j’en laisse aussi un peu…

On ne sait jamais : la Nature est généreuse et peut me faire de jolis cadeaux.

Et c’est le cas, cette année !

A coté du pied mère, 3 nouveautés !

Celui de gauche ressemble beaucoup à un plant que j’ai au Sous-Bois.

Celui de droite ressemble beaucoup au pied à coté du quel il a poussé avec les petits points rouges en prime !

Et le troisième est une version jaune double à petits points rouges.

Il me reste à les déplanter pour leur trouver une place de choix au jardin !

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Dans « Carré Droit », la vedette revient à l’hellebore jaune double que j’ai installé au printemps 2007.

Cette version est très lumineuse et sa forme double permet d’apprécier la fleur sans être obligé de se mettre à ses pieds.

Au « Sous-bois », c’est une version rose à coeur d’anémone qui me fait craquer, mais là, il faut lui lever la tête pour profiter de sa belle frimousse !

Le long de la Haie

Le long de la haie, plusieurs pieds d’hellebore sont installés. Certains ne sont pas encore en fleur, ce sont les derniers arrivés au jardin. Les plus anciens, eux, sont très florifères cette année

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Ce ne sont pas des variétés très originales, mais en masse, ils sont du plus bel effet !

Du Forsythia aux azalées

Au Printemps 2013, j’avais fait une petite virée chez Thierry Delabroye et j’avais bien sur craqué …

Et en 2014,

je ne regrette pas d’avoir craqué sur cette version rouge foncée.

En plus, pour sa première floraison au jardin,  il a la bonne idée de redresser tout seul ses jolies fleurs.

Quel régal !

Par contre, je l’avais installé à coté d’une version jaune foncé qui n’est pas encore en fleur.

Il faudra attendre pour profiter du contraste des 2 hellebores.

Au pied du seringat

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« Au pied du seringat », l’hellebore blanc et rouge s’est bien installé depuis le printemps 2010 et forme un beau nuage de fleurs.

Son compère pourpre foncé  a plus de mal, mais me fait quand même quelques jolies fleurs.

Au fond du massif, les premières fleurs blanches à points rouges d’un pied installé au printemps 2012.

C’est un pied que j’ai trouvé chez Floralux à 2 Euros, mais il lui faut un peu plus de temps que ceux de Thierry pour s’installer.

J’ai aussi installé dans le massif un hellebore issu d’un semis sur la butte du pêcher, une version double mais blanche, mais j’ai oublié de le prendre en photo.

Il faut dire qu’il n’a fait qu’une seule fleur, mais au moins, il a supporté son déplacement au printemps 2013.

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Butte du pêcher

La « Butte du pêcher » est couverte d’hellebore en cette saison. Depuis la maison, je profite des 2 gros pieds installés au pied du pêcher.

Ces pieds sont installés au jardin depuis 2007 et ne cessent de s’étendre.

A coté, un nouveau pied de 2013, fleur jaune et feuillage jaune.

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Sur l’autre coté de la butte, un hellebore jaune coeur d’anémone.

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A la pouponnière

Quand je nettoie autour des hellebores, je ne peux m’empêcher de conserver quelques semis. Je les installe en pot et je les oublie dans la pouponnière.

C’est Grand Chef qui m’a interpellé « Et celles-là, tu ne les prends pas en photo ? » A vrai dire, je les avais oubliés au milieu du bazar

Dans le bazar de la pouponnière,

je retrouve principalement quelques fleurs ressemblant à leurs parents et …

Cette année, je découvre 2 originalités !

Une pourpre presque noir,

légèrement mouchetée, avec un coeur d’anémone pourpre et vert.

Une blanche guttatus à coeur d’anémone !

Quelles beautés, mais je ne sais pas qui sont leur parent. Dame Nature s’est organisée toute seule pour m’offrir ces 2 belles.

J’ai eu de la chance de mettre en pot ces 2 là plutôt que 2 autres, mais comme d’habitude je n’ai rien noté.

Il reste à leur trouver une place au jardin !

Le temps n’est pas au jardinage extérieur !

Comme ça me manque, j’en profite pour faire un coup de ménage dans les orchidées qui sont un peu maltraitées à la maison. En fait, je ne m’occupe pas beaucoup d’elles, juste un peu d’eau une fois par semaine.

Certaines survivent et refleurissement, d’autres périssent rapidement.

Un coup de ménage

Bon, j’ai regroupé tout le monde.

Ca commence à faire une belle tablée …et j’en ai qui sont en fleur, que je n’ai donc pas déplacé.

Pour ceux-ci : nettoyage des racines mortes et tiges sèches.

Contrôle et nettoyage du feuillage des phalaenopsis.

Un petit coup de nettoyage des pots.

Et voilà !

Par contre, je ne sais plus du tout qui est qui !

Je note depuis 2-3 ans mes achats d’orchidées, mais même comme ça, j’ai du mal à retrouver qui est qui. C’est toujours la surprise à la floraison, me direz-vous !

Et une idée

Pour Nouvel An,

ma frangine nous avez réalisé des jolis porte-noms et

avait aussi trouvé un bouquet d’arums.

En passant, les arums ont très bien tenu en vase.

Mais pas autant que les jolis porte-noms !

Ils étaient sur mon bureau

quand je cherchais une idée pour mes orchidées !

Une bonne façon de recycler.

Allez c’est parti, ordinateur…

J’ai référencé les différents pieds,

en commençant par ceux en fleur.

Puis j’ai recherché entre mes notes dans mon carnet de jardin

et l’état de la plante.

J’ai imprimé des petites étiquettes

que j’ai agrafé aux différentes plantes en cours d’identification.

Pour finalement imprimer

quelques noms pour lesquels je n’ai aucun doute.

Rester à coller

la petite étiquette au dessus du carton vert.

Dérouler un peu le pied

pour le planter dans le pot.

Et voilà le travail !

Une petite touche de fantaisie

aux pieds des orchidées !

Entre le ménage, le tri et le référencement,

ça m’a occupé toute l’après-midi,

mais maintenant je sais qui elles sont !

L’hiver continue tout en douceur. Alors je profite des jolies floraisons de saison ou pas

Sur la Terrasse

Les pensées continuent d’éclairer la terrasse accompagnées par quelques courageuses primevères.

Au Sous-Bois

Cyclamen Coum et Lamier maculatum « Taubnesse » pour une ambiance argentée

Heuchère « Citronella » et fougère animent le Sous-Bois.

Heuchères

Les heuchères n’ont pas encore trop souffert du froid. Il faut dire que pour le moment, nous n’avons pas eu beaucoup de gelée.

« Beaujolais » et « Frosted violet »

« Tiramisu » et « Lime Marmelade »

Hellebores

De la couleur encore avec les hellebores qui eux démarrent en avance par rapport à d’habitude. Mais je ne me plains pas, j’apprécie même !

Boutons ou déjà en fleurs : quel plaisir de retrouver les hellebores.

Pour retrouver tous les hellebores du Jardin, c’est là

Et si vous souhaitez craqué sur quelques beautés, n’hésitez pas, rendez vous chez Thierry Delabroye du vendredi 31/01 au lundi 3/02 pour une première ouverture de la pépinière. Plus d’info ici.

Cette année, les hémérocalles sont plutôt en forme et surtout très généreuses. Elles semblent avoir apprécié le printemps !

Rouge : Hémérocalle « Carolina Cranberry ».   Saumon : Hémérocalle « Jean Swann »

Jaune :Hémérocalle « Green flutter ».  Rouge vin : Hémérocalle « Summer Wine »

Quelle variété de couleurs ! J’adore cette plante facile à vivre.

Vous pouvez retrouver les hémérocalles du jardin ici.

Il est temps pour moi de prendre quelques jours de vacances (youpi !).

Bonne continuation à tous et à bientôt

Les amis me connaissent et savent qu’une plante pour le jardin fait toujours mon bonheur.

J’ai reçu il y a peu une belle plante à priori bulbeuse, mais par contre, je ne connais rien d’elle !

En attendant de lui trouver sa place au jardin, je l’ai installé sur la terrasse à la mi-ombre.

Les fleurs se développent de la base et me font un peu penser au camassia.

Mais les fleurs paraissent bien plus grandes et nombreuses !

Quelle beauté !

Mais  je ne sais pas qui elle est.

Edit du 27 juillet :

Merci à Geneviève et Viviane pour leur aide ! Il s’agit donc d’un Ornithogale en thyrse (Ornithogalum thyrsoïdes).

Une belle bulbeuse venue d’Afrique du Sud et donc peu rustique (-3°C ). Je vais devoir la conserver en pot. Elle aime le soleil ou la mi-ombre et les terres légères, pas non plus pour ma terre argileuse.

Pour les fans de bouquets, il parait que la fleur coupée tient très bien en vase.

Près de la maison, sous les pruniers, j’ai installé les belles de l’ombre.

Au début du jardin

Je pensais que rien ne poussait à l’ombre !

J’ai commencé avec quelques fougères et un arum italicum que m’a donné un ami.

La terre n’était vraiment pas terrible, mais tout a démarré.

Alors, j’ai cherché d’autres variétés

et doucement j’ai agrandi le massif . . .

Vous ne verrez pas grand chose : à l’époque, les plantes étaient protégées par un grillage à poule, c’est tout ce que j’avais sous la main pour protéger du chien !

Aujourd’hui

Je me régale !

Les hydrangea petiolaris se sont bien installés.

La version classique a pris sont temps

mais a finalement rejoint « Firefly », la version panachée.

Ils ne fleurissent pas beaucoup,

mais j’ai au moins une fleur par an !

Et puis ils couvrent joliment le mur !

Depuis le temps,

les petites fougères ont bien grandi et

remplissent le massif.

Le rhododendron fleurit pour la deuxième fois depuis son installation en 2005.

Doucement, mais surement.

Je lui pardonne,

il a déjà été déplacé 2 fois avant d’atterrir au Sous-Bois et la terre est vraiment mauvaise.

Enfin depuis, j’ai un peu amélioré en ajoutant une bonne couche de terre du jardin.

Et tous les ans, j’installe les feuilles des pruniers, broyées.

Ce petit traitement semble convenir à tout le monde.

Les heuchères sont les reines des lieux.

Retrouver les heuchères du jardin ici

« Green spice » est superbe, son feuillage a vraiment de belles couleurs.

Merci aussi à la fraicheur humide du moment !

Derrière, un arum offert par des amis qui vient de passer son premier hiver au jardin sous un manteau de feuilles de fougères.

Et au printemps, il a fallu le protéger des baveux avec un peu de bières.

Le voilà en train de me préparer ces beaux calices blancs . . .

Une autre beauté.

Le brunnera « Looking Glass ».

Il apporte beaucoup de lumière !

Je l’ai protégé avec un vieux hérisson à bouteilles car il est sur le passage des chats.

Depuis, il se porte à merveille et moi, je suis ravie !

Le Sous-Bois est aussi l’endroit pour installer les hostas.

Certains sont plantés depuis 2001 et sont devenus énormes.

Au bout du massif, depuis peu,

j’ai installé quelques variétés  dans les tons jaunes comme « Paradise Island » mais qui peinent à démarrer.

Je suis impatiente de les voir bien installés : ils devraient apporter beaucoup de lumière.

Retrouver les hostas du jardin ici

Une autre beauté de l’ombre : l’astrance ou astrantia !

J’adore ces fleurs qui ressemblent à des diamants.

Elle existent en blanc, rose ou rouge.

C’est une plante qui aime les terres argileuses et l’ombre, ça tombe bien !

Au Sous-bois,

c’est « Snow Star » qui tient la vedette !

Retrouver les astrances du jardin ici

Finalement, après 18 ans de jardinage, je reconnais que je me trompais en pensant que rien ne poussait à l’ombre.

Il y a du monde pour l’ombre et du beau monde : fougères, heuchères, hostas, astrances, brunnera, pulmonaire pour ne citer que les plus célèbres !

Retrouver l’histoire complète du massif du Sous-Bois ici

Comme d’habitude, je profite du début de mes vacances pour une sortie à ma pépinière préférée !

Des Asters !

J’ai bien sur craqué sur les asters, des mauves et des blancs.

Pour la variété, j’ai craqué sur l’aster cordifolius « Blütenregen » couvert de petites fleurs lila et l’aster ageratoides « Eleven Purple » à grandes fleurs. J’ai aussi refait le stock d’aster nb Victoria mauve et blanc pour installer près de la maison. J’ai aussi pris deux asters blancs : aster pringlei monte cassino et aster nb « White ladies » pour installer au pied du seringat.

Des echinaceas et des chrysanthèmes

J’ai craqué sur leurs couleurs chaudes. Je leur ai fait un bon petit coin au jardin. Mais j’ai du mal à les installer au jardin. J’ai essayé un coin un peu plus sec. On verra !

Des arbustes

J’ai aussi pris quelques arbustes persistants : des loniceras et un ligustrum aux feuillages lumineux.

Panaché, jaune citron ou citron vert. Une belle Erica blanche.  De quoi égayer les potées d’automne sur la terrasse et quelques coins du jardin.

J’ai aussi trouvé un beau physocarpus  « Little Devil » pour installer un peu de pourpre au jardin.

Depuis, je jongle entre les averses pour le nettoyage des massifs et les plantations. Difficile d’avancer mais dès qu’il ne pleut pas, je suis au jardin !

Pour les photos, ce sera plus tard !

La pluie s’est installée depuis le début du mois. Le jardin s’est requinqué !

Les asters ont profité aussi. Alors dès que le temps est sec, je pars faire mon tour et me régaler

Aster lateriflorus « Chloë »

Pour accompagner le sedum,

le bel aster lateriflorus « Chloë ».

C’est un géant qui dépasse du massif.

1 bon mètre

Une multitude de petites fleurs blanches.

Blanche à coeur  jaune au départ puis   rouge-framboise.

Une belle présence au milieu du massif.

Aster rose d’Astrée

Ne le cherchez pas,

il vient tout droit des semis du Jardin d’Astrée.

Installé à l’automne 2010,

il promet une belle floraison.

C’est un novae angliae qui devrait dépasser le mètre.

Cette année, il a un peu souffert du manque d’eau et est resté petit, mais il devrait bien fleurir

Au fond, mais il faut que je le déplace car il est tout étouffé, c’est l’aster ericoïdes « Ring Dove ». Des centaines de toutes petites fleurs roses très clair.

Aster « Kylie »

En avant du massif,

l’aster « Kylie » !

C’est un grand.

1 mètre

mais ses grandes tiges se sont couchées.

Il faut que je lui trouve un support

ou que je les taille un peu en début d’été !

En tout cas,

il a une belle présence dans le massif !

Aster Mauve

Aux pieds des tonnelles, les asters mauves sont les rois.

« Fuldatal », « Monch » et d’autres sans noms.

Ca dure depuis début août avec tout d’abord l’aster frikartii « Monch » avec ses longs pétales. Et maintenant ce sont les grands novi-belgii qui sont en pleine floraison.

Dans Tutti-Fruti, encore des aters nb

J’adore celui-ci avec ses longs pétales. Son coeur est changeant : du jaune au rouge-framboise.

Ca fait du bien tous ces asters qui colorent le jardin entre 2 averses !