Archive pour la categorie ‘Gros Plan’
Jolies tomates
Belles récoltes
Cette année, les tomates sont plutôt généreuses.
Un début d’année frais et humide et fin juin les plants étaient plutôt costauds, mais aucune fleur. Début juillet, avec la douceur sont apparues les premières fleurs et fruits, mais aussi quelques taches brunes sur les plants.
Mi-août, au retour de vacances, les fruits ont grossi, mais quelques uns sont franchement abimés. J’ai enlevé tous les fruits abimés. Et la chaleur est arrivée ….
Depuis, je récolte entre 500g et 1kg de tomates tous les 2 jours. Rien que du bonheur !
De la variété
Cette année, j’ai planté plusieurs variétés. Je vous les présente en commençant par la plus petite !
Poire Jaune
Poire jaune, parce qu’elle a la forme d’une poire et jaune parce qu’elle est ….jaune, bien sur !
C’est une petit tomate à déguster à l’apéro.
Son gout n’est pas très fort, mais c’est quand même meilleure que les tomates cerise du commerce.
Je ne me souviens pas depuis combien de temps je la cultive au jardin.
Chaque année, je récolte mes graines et chaque année, je suis ravie de la retrouver.
Elle est très généreuse et résiste plutôt bien aux maladies.
Simple et efficace, comme j’aime
Prune verte
Elle a la forme d’une prune et aussi sa taille.
Elle est verte marbré vert plus foncé sur le dessus.
Très sucrée, nous la savourons souvent pour l’apéro.
Mais elle apporte aussi une belle touche de couleur dans les salades de tomates.
J’avais obtenu des graines lors de la fête de la Tomate à Haveskerque en septembre 2014 !
Depuis, je récolte ses graines et me régale avec ses jolis fruits.
Dark Galaxy
Celle-ci est nouvelle au jardin. Je l’ai obtenue de Eddy C. lors du SOL2016.
Le fruit est plutôt petit mais très original en couleur : il démarre en noir (au dessus) et vert, puis le vert passe au rouge légèrement tacheté. Par contre, je la trouve longue à mûrir.
Coté goût, c’est une tuerie !
Tous ceux qui l’ont gouté sont repartis avec des graines ! Son goût est très doux et sucré. Comme les fruits étaient petits, nous l’avons principalement consommé en apéro. Mais dans une salade, elle fait sensation avec son mélange de noir et rouge.
Elle a plutôt bien résisté aux maladies.
Gigant Kuby
C’est une variété à gros fruit, vert marbré sur le dessus et rouge orangé sur le dessous.
Elle est bien charnue et permet de faire de jolies salades colorées.
J’ai commencé à récolter les graines pour l’année prochaine.
Amish Paste
Encore une variété que j’ai reçue d’Eddy lors du SOL2016.
C’est une variété type Roma, charnue et allongée.
Coté goût, je la trouve un peu fade,
mais elle complète bien les salades de tomates par sa jolie couleur rouge.
Elle a aussi bien résisté aux maladies.
Et elle produit plutôt bien.
Il me reste à récupérer des graines pour l’année prochaine.
Salade colorée
Voilà de belles couleurs pour une jolie salade de tomates juste assaisonnée d’un filet d’huile d’olive, bio bien sûr
Et chez vous, la récolte a été bonne ?
Le temps des Hémérocalles
Un peu en retard par rapport aux années précédentes, les hémérocalles ont démarré leur floraison.
C’est une plante que j’adore ! Elle n’est pas difficile et supporte sans problème ma terre argileuse. Elle ne craint ni le froid ni la chaleur. Et surtout elle nous offre des fleurs de toutes les couleurs.
Allez, c’est parti pour un petit tour des hémérocalles du jardin.
Too Much
Dans le massif Too Much, j’ai choisi des teintes pastelles et pourpres.
Alors quand j’ai créé le massif, j’ai cherché une hémérocalle au teinte douce pour tenir compagnie à l’hydrangea quercifolia « Snow Flake » et au rosier « Astronomia ».
J’ai trouvé une hémérocalle rose-abricot très pastel,
nommé « Jean Swann ».
Après comparaison avec les photos du Net,
la mienne n’est pas double,
mais j’adore sa couleur !
Et quel contraste avec les feuilles pourpres de l’hydrangea quercifolia.
J’aime aussi le tendre duo qu’elle forme avec les roses de « Astronomia ».
Elle est installée depuis 2011
et pour le moment, je la laisse s’étoffer encore avant de la dédoubler.
Du forsythia aux azalées
Entre le forsythia et les azalées, pousse l’hémérocale « Summer Wine ».
Celle-ci est au jardin depuis 2005
et quel plaisir de la retrouver chaque année !
Je l’ai déjà dédoublé plusieurs fois.
J’ai même enlevé un pied à l’automne pour faire de la place dans le massif
et du coup, j’ai plein de bébés qui attendent de trouver un jardin où s’installer !
Et tous les bébés se sont bien développés
et sont en fleur du coté de la pépinière.
Même pour ça, c’est une plante facile !
Le massif du Seringat
Le massif du seringat est dédié aux blancs et rouge-framboise.
plusieurs hémérocalles colorent le massif et
participent à la fête de l’été.
La plus visible : Hémérocalle « Carolina Cranberry ».
Elle est rouge-rosé très foncé,
légèrement nervurée
et forme un duo pétillant avec les
– astrances blanches ou le
– leucanthemum « Phillis Smith ».
Elle est au jardin depuis 2008
et je ne l’ai jamais dédoublé.
La plus discrète : Hémérocalle « Catherine Woodberry »
Elle est rose lavande très clair et
apporte une belle touche de légèreté dans le massif.
Elle forme un joli duo avec les campanules blanches.
Elle aussi est installée depuis 2008
et je ne l’ai pas dédoublé.
Même si la fleur d’hémérocalle ne dure qu’un jour, chaque tige prépare au moins une 20aine de fleurs ce qui permet de profiter longtemps du spectacle.
La Serre
Devant la serre, j’ai installé un grand pot avec un pied d’hémérocalle.
Mais je ne sais pas qui elle est !
Elle a de grandes fleurs rouge avec un coeur jaune.
J’ai cru que c’était « Carolina Cranberry » mais comme je ne l’ai pas dédoublé, ça ne peut pas être elle ! Et puis la couleur est franchement plus rouge.
Et comme je ne note pas forcément ce que je mets en pot, je vais avoir du mal à l’identifier.
Ce n’est pas grave. Elle est belle et très lumineuse, alors je savoure sa présence devant la serre.
Les Tonnelles
Les Tonnelles sont dédiées aux mauves et bleus.
L’année dernière au printemps,
j’ ai installé 3 hémérocalles en provenance de la Pépinière de la Pointe pour tenir compagnie aux roses et aux géraniums.
Sur les 3, une seule s’est bien installée et m’offre ses premières fleurs.
C’est l’Hémérocalle « Strutter’s ball ».
Elle est pourpre velouté avec un coeur jaune.
Elle n’a fait qu’une seule tige florale,
mais je sais qu’elle se sera encore plus généreuse l’année prochaine.
A l’automne dernier, j’ai déplacé une hémérocalle qui se trouvait sur la Butte du Pêcher au milieu des roses et jaunes.
Sa couleur, trop violette, faisait tache sur la Butte du Pêcher !
Elle ne m’a pas tenue rigueur de ce déplacement et fleurit très généreusement cette année.
Son nom ? Normalement, ce devrait être « Cute as can be », rose double.
Mais ce n’est pas elle. En cherchant sur le Net, j’ai trouvé l’hémérocalle « Super Purple » qui lui ressemble beaucoup. Je l’ai donc rebaptisée.
Derrière la piscine
Ce massif est multi-couleur : le principal est d’arriver à un massif qui pétille !
Au milieu du massif, des hémérocalles achetées en mélange sont installées depuis le début du massif en 2007. Puis, j’ai eu envie d’en ajouter d’autres ….
En 2010, je craque pour l’hémérocalle « David Kirchhoff ».
Elle est décrite comme « Superbe variété aux fleurs de 15 cm rose pourpré à gorge verte, à bordure frangé jaune crème ».
La mienne est moins pétillante que prévu,
mais elle est super généreuse.
La dernière hémérocalle installée dans ce massif vient de m’offrir ses premières fleurs.
Il s’agit de l’Hémérocalle « Night Embers ».
Celle-ci est rouge très foncé et légèrement parfumé,
mais pour le moment, je n’ai rien senti.
Elle est installée à coté d’une échinacée orange « Hot papaya » :
le duo est superbe, mais je n’ai pas fait de photo.
En tous cas, elle est très originale.
Voilà pour un petit tour au milieu des hémérocalles du jardin.
Et vous, les aimez-vous ces Lys d’un jour ?
Iris surprise
Belle découverte dans le massif des Tonnelles, au milieu des iris pallida . . .
Un bel iris , même 2 iris du type iris barbu ont surgi du massif au milieu des nombreux pallida.
Surprise ! Je ne me souviens pas de sa plantation.
Ma base de données
Je me suis développée une petite application pour gérer les plantes du jardin, il y a longtemps. J’ai donc un bon historique de mes achats !
Comme depuis mon passage chez David, j’ai fait pas mal de mise à jour. J’ai ajouté les photos au descriptif des plantes. Bonne idée.
Ca fait un mois que je travaille dessus : j’ai du lier les photos aux plantes, soit plus de 500 photos pour plus de 700 plantes. Un boulot de fou à parcourir toutes les photos du jardin !
Mais je suis plutôt contente du résultat !
Iris retrouvé
Du coup, j’ai passé pas mal de temps sur ma base de données et
j’ai recroisé des iris achetés en 2002 chez Cayeux.
J’ai perdu rapidement plusieurs variétés lors de la plantation, merci ma terre argileuse.
L’iris « Fiesta Time » a survécu plusieurs années mais je ne l’ai pas vu en 2016.
Via internet, j’ai recherché les photos des différentes variétés et quand j’ai vu les photos de l’iris « Cranberry Ice » à coté du mien,
je me dis qu’ils se ressemblent beaucoup !
Alors iris identifié !
J’ai un doute.
Dans ma base de données, il est noté 2002 et
à cette époque le massif des Tonnelles n’existait pas !
Il serait d’abord passé par la butte du pêcher puis je l’aurais ramené ici ? Je ne m’en souviens pas.
Alors je vais faire confiance à ma base de données plutôt qu’à ma mémoire et
dire qu’il s’agit du bel iris « Cranberry Ice ».
Je suis ravie de cette surprise, Il est beau mon iris « Cranberry Ice » !
Prunus « Kojo No Mai »
C’est le moment d’admirer la floraison du petit Prunus « Kojo No Mai ».
Description
Le Prunus « Kojo No Mai » est un petit arbre aux branches tortueuses qui pousse lentement pour atteindre 2.5m.
l’arbuste se couvre de boutons rouge-rosé.
Les boutons s’épanouissent en petites fleurs blanches pendantes.
Le feuillage apparait après la floraison.
Pour l’ automne, c’est le feu d’artifice : les feuilles virent au rouge cuivré.
Mon Prunus
Pourquoi j’ai choisi ce petit prunus ?
D’abord j’ai craqué en le voyant sur les différents blogs au printemps. Du coup, je me suis un peu renseignée sur lui. Sa pousse lente et sa taille finale raisonnable (2.5 m) m’ont rassurée.
Et puis, je cherchais un petit arbuste blanc pour mettre au bout du massif du Seringat.
Alors, lors de ma sortie à Locon en 2012, je piste un peu et je le trouve chez Hennebelle. 20euros le petit sujet. A l’époque, je le trouvais un peu cher, mais depuis qu’il est installé au jardin, je ne regrette pas mon investissement !
Coté Terre, il n’est pas trop difficile et supporte très bien ma terre argileuse et franchement détrempée en hiver. Et il résiste aussi très bien aux périodes des sécheresses, de plus en plus fréquentes.
C’est un arbuste qui mérite d’être installé en isolé (ou même en bac) afin d’en profiter au printemps et à l’automne.
En automne
L’année dernière, j’ai fait attention à sa fanaison et je me suis régalée.
Son feuillage passe du vert au pourpre foncé puis au rouge cuivré.
Quelle présence ! On ne voit que lui.
Un atout que je ne connaissais pas quand j’ai craqué sur lui au printemps et qui le rend encore plus appréciable.
Aster et compagnie
Les asters sont les plantes fleuries du moment. Ils sont indispensables pour apporter de la couleur en automne.
Duo avec les feuillages
Le premier aster qui est arrivé au jardin est arrivé tout au début du jardin et à l’époque, je ne faisais pas attention au nom.
Je l’ai installé le long de la haie, soit à la mi-ombre. Il s’est bien installé et j’ai rapidement prélevé des éclats pour installer partout le long de la haie.
J’aime les duos qu’il forme le long de la haie !
Avec le feuillage jaunissant des pivoines.
Avec le feuillage rougissant de l’hydrangea serrata « Blue bird ».
Avec le feuillage épais de l’hydrangea quercifolia.
Avec le beau feuillage noir du Physocarpus « Little Devil ».
Je ne sais pas qui est le faire-valoir de qui !
Ce qui est sur c’est qu’il apporte une touche lumineuse au milieu des feuillages d’automne !
Duo Rouge et Blanc
Pas de rouge chez les asters, mais des blancs oui !
En ce moment, c’est l’aster laterifolius « Chloë » qui tient la vedette et forme un joli duo avec le sedum qui a pris ses couleurs d’automne.
D’ailleurs, cet aster forme presque un duo à lui tout seul !
Ses fleurs démarrent avec un coeur jaune qui devient ensuite framboise.
Un autre joli duo est celui formé par le feuillage du prunus incisa « Kojo No Mai » et les fleurs d’un aster victoria, à priori « Diana ».
J’achète ses petits asters en nombre à l’automne pour faire des potées près de la maison, puis au printemps je les installe dans les massifs.
Dans ce massif dédié au rouge et blanc, 2 autres asters apportent une belle touche de blanc.
Le premier est l’aster divaricatus, très précoce car il démarre en août et couvre le milieu du massif
Le deuxième, à droite du massif, est l’aster « White Ladies » à grandes fleurs d’un blanc pur, mais hélas mon APN n’arrive pas à le prendre en photo de près (photo saturée).
La vie en mauve
Si vous aimez les dégradés de mauve-violet, les asters sont pour vous !
Dans toutes les teintes, à grandes fleurs ou petites, haut ou rase moquette ….
Je les ai regroupés dans le massif des Tonnelles, réservés aux dégradés de mauves.
Pour beaucoup d’entre eux, je n’ai pas le nom.
Mais peu importe, je savoure leurs belles étoiles !
En voici un plus foncé !
Dans la même teinte, mais avec des pétales plus longs.
Celui-ci possède des petites fleurs très nombreuses dans une teinte pastel.
C’est l’aster Cordifolius « Blütenregen » qui forme un grand nuage lavande.
Celui-là, je l’ai choisi pour tenir compagnie au rosier « Charles de Gaulle » et j’avoue que je ne suis pas déçue !
Nouveaux asters
Bon, j’ai beau avoir déjà acheté une trentaine d’asters (tous n’ont pas survécus malheureusement), j’ai craqué sur 2 asters lors de ma sortie à Genech.
J’ai noté leur nom dans mon petit carnet.
Mais arrivée à la maison, j’avais un doute sur qui est qui ?
Je crois que celui-ci est l’aster dumosus « Jenny ».
Il devrait rester petit, 40 cm de haut.
Je l’ai installé en devant du massif des Tonnelles.
Mon deuxième achat est l’aster nb « Crimson Brocade ».
Celui-ci devrait être bien plus grand pour atteindre 90 cm.
Je ne l’ai pas encore installé. Je réfléchis encore !
Bon, j’espère que je ne me suis pas trompée sur l’identification.
Il ne me reste plus qu’à attendre l’automne 2016 pour vérifier la taille et je serai alors fixée !
En attendant, je savoure les floraisons des asters du jardin.Vous pouvez les retrouver au jardin ici
Et vous, les aimez-vous ces étoiles d’automne ?
Les Belles de l’été
Cette année, l’été est chaud et plutôt sec. Le jardin souffre un peu, mais les fleurs sont belles !
Alors, je vous propose un petit tour au milieu des fleurs et des couleurs de l’été….
Les roses
Ce sont les reines du début de l’été. Et comme les rosiers du jardin sont remontants, les roses durent….
En blanc-rosé
Rosier grootendorst blanc, Rosier « Princesse de Galles » et Rosier « Astronomia »
En pastel
Rosier sans nom, Rosier « Sunny rose » et Rosier « Summer Wine »
En couleur soutenue
Rosier « Reine des Violettes », Rosier « Charles de Gaulle » et Rosier « Rhapsody in blue »
En couleur pétillante
Rosier « Yann Arthus-Bertrand »
Pour le moment, les rosiers se reposent, mais ils préparent la suite des festivités !
Encore des roses ici
Bon, il y a encore d’autres rosiers au jardin, mais place aux autres belles de l’été.
Les hémérocalles
Hémérocalle inconnue ( surprise des commandes à distance), Hémérocalle « Jean Swan » (mais elle devrait être double) et Hémérocalle « Green Flutter » (pas d’erreur sur celle-ci !)
Hémérocalle « Woodberry », Hémérocalle « Summer Wine » et Hémérocalle « Carolina Cranberry »
Au jardin, il y a encore plein d’autres hémérocalles, en rouge, en jaune, en violet….et je viens d’en installer 3 autres pieds en provenance de Bretagne (Hémérocalle de la Pointe), mais elles ont un peu de mal à s’installer avec cet été franchement sec. J’en profiterai l’été prochain !
En tous cas, ce sont des plantes super faciles : je n’ai jamais perdu de pied d’hémérocalle. Elles supportent très bien ma terre lourde et résistent aussi très bien à la sécheresse. Je les adore !
A retrouver ici
Les vivaces
Il n’y a pas que les roses et les hémérocalles pour égayer le jardin. D’autres vivaces sont aussi des championnes de la floraison ou de la couleur.
Les géraniums
Géranium maison (semis spontané), Géranium « Orion » et Géranium « Kashmir blue »
Les géraniums sont des champions de la floraison : 2 mois de fleurs (juin-juillet) ! Quel régal !
Pour en savoir un peu plus sur les géraniums du jardin, c’est ici.
Les sisyrinchiums striatum
C’est Sophie du Jardin, c’est tout qui m’a offert un bout de son jardin au printemps 2014. Il s’est bien installé et a un peu fleuri été 2014. Cette année, il a doublé de volume et nous a offert une magnifique floraison depuis début juin. Pour une plante qui préfère les terrains légers, il s’est bien adapté à ma terre argileuse.
J’ai vu qu’il existait une version bleue …
Les échinacées
C’est une fleur que j’adore mais qui ne semble pas se plaire au jardin. J’ai une belle floraison la première année, puis elle disparait. J’espère que j’aurais plus de chance avec cette belle double aux couleurs très changeantes.
Les nouveautés
Achillée ptarmica « the pearl » et Véronique longifolia « Charlotte »
Installées à l’automne 2014 dans le massif Overdose, ces 2 beautés se sont bien installées. J’adore le duo formé par les petites fleurs de l’achillée et les longs épis de la Véronique.
Les annuelles
Les annuelles ont aussi leur place au jardin, surtout si elles aiment se ressemer !
Iberis mauve
C’est ma belle-mère qui m’a apporté les premiers pieds d’ibéris au jardin. Je l’avais installé dans le Massif aux Papillons et depuis 15 ans, il se ressème généreusement dans différentes nuances de mauve.
Muflier – Gueule de loup
Voici encore une chouette annuelle qui se ressèment généreusement. Sa palette de couleur est impressionnante !
Et surtout, elle plait aux enfants…. Ils adorent jouer avec et lui faire ouvrir sa gueule de loup !
Pavot annuel
Je ne l’ai pas semé au jardin. Il est arrivé tout seul il y a au moins 3 ans et depuis, il se ressème généreusement tous les ans.
Voilà pour un petit aperçu des belles de l’été !
Vous pouvez les retrouver en situation au jardin en juin ou en juillet.
Pour ma part, je les retrouverai dans 2 semaines. Pour le moment, je vais aller admirer les belles du Gard !
Mes roses après la pluie
Le WE a été ensoleillé et sec. Mais vendredi, le jardin a eu le droit à un petit orage. Avec Grêles. Mais sans dégât apparent.
Je suis rentrée du travail, l’orage était passé et le soleil revenait. L’air avait bien rafraichi … Un petit tour s’imposait !
Les rosiers sont en fleurs et ont plutôt bien résisté à l’orage.
Rosier « Reine des Violettes »
Ce rosier a eu du mal à s’installer. Mais cette année, il est couvert de fleurs et de boutons.
Mais difficile de trouver les fleurs au milieu des scabieuses et herbes folles !
Rosier « Charles de Gaulle »
Le rosier « Charles de Gaulle » a un peu souffert de la pluie, mais aussi de la la chaleur de la journée !
Mais les perles de pluie lui vont plutôt bien.
Rosier « Rhapsody in blue »
Le roi du moment, c’est « Rhapsody in blue ». Même après l’orage, il est superbe et quel parfum !
Pour lui aussi, la pluie l’a moins abimé que les fortes chaleurs.
Cette année, « Rhapsody » est vraiment très en forme. Il fleurit généreusement et prépare encore beaucoup de boutons.
Rosier « Tutti-Fruti »
Au milieu du potager, mon rosier fluo est couvert de bouton.
seule une fleur s’est ouverte !
C’est une rose de thé classique
avec une couleur impossible
Qui résiste plutôt bien à la pluie !
C’est un de mes premiers rosiers et
c’est lui qui a subi mes premiers essais de taille !
Et oui, avec le temps, je me suis habituée à sa couleur très peps !
Rosier « Yann Arhtus-Bertrand »
Perdu au milieu du massif, le rosier « Yann Arthus Bertrand » démarre sa floraison.
Les fleurs sont simples, mais changent de couleur tout au long de la floraison.
Rosier « Summer Wine »
Au pied des plaques, le Rosier « Summer Wine » est en fleur depuis quelques jours.
Les branches se sont un peu couchées sous la pluie, mais les fleurs ont plutôt bien résisté.
Rosier « Phyllis Bide »
Le Rosier « Phyllis Bide » a mis un peu de temps à fleurir. Mais le voilà parti !
Ses petites fleurs démarrent en bouton jaune-orange, puis s’épanouissent en rose. Les fleurs plient un peu la tête après l’averse mais restent bien fraiches
Finalement, mes roses se portent plutôt bien après l’orage.
Je devrais faire le même test mais après plusieurs jours de pluie (enfin quand la pluie reviendra !)
Près des Plaques
Le mois de mai est plutôt sec. Le jardin n’est pas encore en souffrance, mais il ne faudrait pas que cela dure….
Le massif « Près des Plaques », placé plein sud aux pieds de plaques en béton, se porte bien.
Dans le premier carré, la potée de pensées ressuscite après une après-midi au bassinage !
J’ai tendance à oublier de l’arroser.
Dans le triangle suivant, le thym et la ciboulette installés au printemps ont doublé de volume et fleurissent généreusement.
L’origan lui s’étale !
Dans le triangle derrière les aromatiques, le rosier « Phillys bide » est couvert de boutons, mais pour le moment pas de fleur.
Devant lui, les alliums roseum, eux, sont bien en fleur.
Je craque sur leur couleur qui s’associe bien avec les anémones de Caen « Sylphide ».
Dans le triangle des petits choux, tout le monde s’est bien installé.
Les joubardes déjà en place avant le remaniement du massif ont supporté d’être un peu bousculés.
Comme il manquait de terre à leur place, j’ai soulevé les joubardes et remis de la terre en dessous !
Les joubardes araignées (sempervivum arachnoideum), installés en février, ont déjà fait plein de petits.
Les espaces vides devraient vite se combler !
Dans le triangle derrière les petits choux, le rosier « Summer Wine » a démarré sa floraison. Et quelle floraison !
Les boutons démarrent en rouge, puis la fleur s’ouvre rose soutenu, pour s’adoucir ensuite.
En tous cas, sa couleur est parfaite et se coordonne parfaitement avec la couleur des plaques en béton !
Coté feuillage, il est très sain et s’est bien développé depuis sont installation à l’automne.
Il est bien parfumé et devrait franchement embaumé quand il recouvrira les plaques !
Juste pour le plaisir, gros plan sur la fleur
Bon, pour le premier printemps de ce massif, je suis plutôt contente du résultat.
A Bé Cé Dé des plantes du jardin
Sur une idée originale de Cagouille’s Garden, suivi par Le Vieux Clos et Le jardin de Greg, je me lance …
Voici donc l’ABCDaire des plantes et autres habitants de mon jardin.
A … comme Ancolie
Une belle qui anime le jardin de ces fleurs légères
B … comme Brunnera
Des feuillages lumineux pour l’ombre
C … comme Camélia
D … comme Dianthus
E … comme Echinacée
Une belle pour la fin de l’été et l’automne mais qui supporte difficilement ma terre lourde
F … comme Fourmi
G … comme Geranium
H … comme Hellebore
I … comme Iris
J … comme Joubarde
K … comme Kousa
L … comme Lotus
M … comme Miam
Pour du gout dans nos assiettes
N … comme Narcisse
O … comme Ophiopogon
P … comme Papillon
Q … comme Quatre épices
R … comme Rose
S … comme Scabieuse
T … comme Tradescantia
U … comme Utile
Utile pour un bon compost maison
V … comme Viburnum
W … comme Wagon-lit
Ou comment se déplacer et se reposer au jardin !
X … comme X intermedia
L’hamamelis x intermedia « Westerstede »
Y … comme hYdrangea
Ben quoi, on ne l’entend pas le H
Z … comme Zinnia
Bon, je me suis bien amusée à réaliser cet ABCDaire. Du coup, je me suis rendue compte qu’il me manquait des photos de quelques plantes du jardin.
La semaine prochaine, je suis en congés : j’espère que le temps sera sec pour que je puisse commencer à bricoler au jardin ….
Le jardinage commence franchement à me manquer !
Premiers hellebores
Après une semaine de froid, le jardin se porte plutôt bien.
Je profite du temps sec pour faire mon tour et apprécier les couleurs qui s’installent !
Au Sous-bois
Au Sous-Bois, les nombreux pieds d’hellebores préparent leur floraison.
Il y en a des roses, des jaunes, des simples, des doubles….
Je me régale des premiers boutons.
J’adore ces boutons colorés sertis dans un écran de feuilles vert tendre !
Au Sous-bois, il n’y a pas que les hellebores qui se réveillent.
Le cyclamen coum est en fleur et le camelia planté l’année dernière prépare ses boutons.
Derrière la piscine
Derrière la piscine, c’est un petit pied d’hellebore qui a ma préférence.
Je ne connais pas sa variété, mais c’est le premier que j’ai installé au jardin.
Il me vient du jardin de la grand-mère de Grand Chef.
C’est grâce à lui que j’ai commencé à m’intéresser à cette plante qui fleurit en hiver et apporte de belles touffes de couleur.
C’est aussi grâce à lui que j’ai découvert la pépinière de Thierry et Sandrine Delabroye, qui nous régale chaque année de ces nouvelles obtentions.
Tiens d’ailleurs, il faudrait que je leur demande si ils connaissent l’origine de ce plant.
Butte du Pêcher
Autour du pêcher, 2 pieds d’hellebore animent le massif depuis 2007.
Les 2 pieds sont devenus énormes.
J’ai installé depuis 2 autres pieds.
Un jaune avec un coeur d’anémone, qui n’est encore qu’en bouton.
Un jaune à fleur simple mais au feuillage jaune qui est déjà bien en fleur.
Ses fleurs sont assez grandes et se redressent un peu pour nous faire admirer son joli coeur jaune d’or.
Par contre, il est un peu plus bas que les autres hellebores orientalis.
En tous cas, même perdu au milieu du massif, il ne passe pas inaperçu !
Au pied du seringat
Au pied du seringat, il y a plusieurs pieds d’hellebores.
Certains n’ont pas encore démarré leur boutons.
Mais d’autres animent déjà le massif !
Celui-ci est une version à fleur ronde rouge très foncé.
J’adore ces boutons très foncé au creux du feuillage qui présente un peu de teinte rouge.
Celui-ci présente aussi des fleurs simples.
J’ai choisi une variété colorée sur le dessus des tépales pour en profiter même si ils ne redressent pas la tête.
Ces 2 plants sont installés depuis 2010.
Ils ont eu du mal à s’installer avec les premiers hivers plutôt rigoureux. Mais cette année, il devraient être magnifiques.
Celui-ci n’est pas un hellebore orientalis comme les précédents, mais un hellebore niger.
Ses fleurs sont plus grandes et se tiennent bien droites.
Par contre, ils apprécient peu ma terre lourde et gorgée d’eau l’hiver et ont tendance à disparaitre au bout de quelques années.
C’est dommage car ils sont plus précoces que les orientalis et démarrent leur floraison plutôt mi-décembre.
Comme pour les orientalis, je coupe les feuilles au moment de la floraison pour bien profiter des fleurs !
Voilà pour les premiers hellebores du jardin.
Ca fait du bien de les retrouver … mais ce n’est que le début !
En février, ce sera l’explosion de couleur.