Archive pour la categorie ‘Gros Plan’
Hellebores et compagnie
Le début du mois de mars est le meilleur moment pour profiter de la floraison des hellebores.
Cette année, la neige et le froid mordant de février les ont un peu abimés, mais ils ont résisté. Alors c’est le moment de profiter des hellebores et de leurs compagnes du moment.
Carré Gauche
Près de la maison, le massif Carré Gauche est couvert d’hellebores jaunes.
Ce sont mes rayons de soleil et j’en profite depuis la maison !
Carré Droit
Du coté de Carré Droit, les hellebores sont accompagnés par la belle heuchère « Caramel ».
Au Sous-Bois
De ce coté du Sous-Bois, ce sont surtout les hellebores roses qui dominent.
Pour les accompagner, des cyclamens rose et des scilles Tubergeniana, blanc et bleu.
Au bout du Sous-Bois, encore des hellebores
Un bébé hellebore du jardin en jaune qui illumine le pied du lonicera et un beau sombre accompagné de pulmonaire et cyclamen.
Le long de la Haie
Installé en 2017, le pied d’hellebore rose à coeur pourpre fleurit généreusement cette année.
Et pour accompagner les hellebores, des primevères et la pulmonaire « Diana Clare ».
Too Much
Dans le massif des pourpres et noires, l’ambiance est agréable.
Les hellebores font le spectacle accompagnés de l’heuchère « Beaujolais », l’ophiopogon et un premier bouton sur la pivoine arbustive « Guan Shi Mo You » installée en 2017.
Overdose
Juste en face, Overdose fait la part belle aux blancs.
En 2020, j’ai installé un pied d’hellebore blanc double.
Et pour accompagner l’hellebore, des primevères blanches, l’euphorbe « Tasmanian Tiger » qui fleurit et le magnolia stellata qui prépare sa floraison.
Au bout de la Haie
Ici, 2 hellebores aux couleurs soutenues animent le massif.
Massif du Seringat
Pour accompagner la floraison du camelia rouge, des hellebores blancs, rouges et blancs et rouges.
Dans ce massif, les hellebores ont un peu plus souffert des grosses gelées.
Butte du Pêcher
C’est le massif des roses et jaunes.
Le massif est couvert d’hellebores roses doubles depuis longtemps et en 2020, j’ai installé quelques hellebores jaunes à feuillage jaune, un a fleuri, mais les autres ne font que du feuillage. Et puis, il y a les semis du jardin qui parfois nous offre de belles surprises comme cet hellebore simple rose très foncé avec un coeur d’anémone rouge et vert.
C’est aussi le moment d’apprécier la floraison de l’hamamelis « Westerstede ».
Massif aux Papillons
De loin, ce sont surtout les jonquilles qui colorent le massif.
Mais caché près du budleia, je profite de la floraison d’un hellebore issu de semis du jardin.
Les Tonnelles
J’ai fait un petit coup de nettoyage dans le massif et j’apprécie le retour des couleurs.
Depuis 2017, j’ai commencé à installer des hellebores dans ce massif plein sud. Sur les 2 pieds installés, un a fleuri cette année, mais l’autre non. Ils ont du mal à s’installer dans ce massif !
Heureusement, le massif se couvre d’autres beautés, comme les primevères, les cyclamens coum et les muscaris qui démarrent.
Derrière la piscine
Dans le massif Derrière la Piscine, pourtant bien au soleil, les hellebores se sont bien installés et depuis longtemps.
A la création du massif, en 2007, j’ai déplacé un petit hellebore à fleur jaune pâle qui vient du jardin de la grand-mère de Grand Chef. C’est d’ailleurs le premier hellebore qui est arrivé au jardin et qui m’a fait découvrir cette plante.
J’ai aussi installé un hellebore rose pâle. Et depuis, les bébés sont nombreux. Je retrouve même des hybridations avec ceux présents à l’autre bout du jardin.
Et pour tenir compagnie aux hellebores, des jonquilles, les petites tulipes turkestanica et les mini-narcisses, et bientôt les muscaris
Voilà pour un tour des hellebores du jardin et de leurs plantes compagnes.
Ce sont mes chéris du moment !
Surprenants Hellebores
Cette année, les hellebores sont franchement en avance. Il faut dire que pour le moment nous n’avons eu ni neige ni grand froid, à peine quelques gelées matinales.
Alors je profite du spectacle, même depuis la maison.
Il faut dire que j’aime beaucoup les hellebores pour la couleur qu’ils apportent en hiver et j’en ai installé dans les massifs près de la maison.
Carré Gauche
Le massif Carré Gauche est dédié aux jaunes et bleus. En cette saison, c’est surtout le jaune qui domine avec les hellebores.
J’avais installé deux pieds d’hellebores simple jaune. Depuis, le massif s’est couvert de pieds d’hellebores, généralement jaune, mais parfois rose.
Au fil des années, des versions doubles se sont semées, pour mon grand plaisir.
Avec les hellebores, c’est toujours la surprise !
Alors, en cette saison, je soulève chaque fleur pour voir les nouvelles beautés.
Carré Droit
En 2007, j’ai installé un pied d’hellebore jaune double qui venait de chez Thierry Delabroye. Les fleurs ne sont pas encore ouvertes, mais les gros boutons ronds sont bien présents, juste derrière l’heuchère « Caramel ».
En 2017, j’ai installé un pied d’hellebore à feuillage jaune et aux fleurs aux reflets saumon, encore une belle obtention de chez Delabroye. Pour cet hellebore, je ne coupe pas les feuilles afin de profiter au maximum de la belle tache de jaune qui fait écho à l’heuchère « Caramel ».
Et devant lui, un pied sauvage a poussé, nous offrant de belles fleurs doubles (comme son papa) dans un rose très léger. Hélas, il va falloir que je le déplace car il étouffe un peu l’hellebore à feuillage jaune.
Au Sous-Bois
J’ai installé le premier hellebore au Sous-Bois en 2004. Il avait une fleur simple mauve avec un beau coeur vert. Il est toujours là accompagné par les perce-neige, mais un peu caché par l’hortensia Vanille-Fraise.
Depuis, j’ai installé d’autres pieds dont un magnifique pourpre à coeur d’anémone en 2010. C’est encore une obtention Delabroye et je la trouve irrésistible avec sa sous-face blanche parsemée de petits points rose-pourpre.
L’année suivante, j’ai découvert au milieu de ce pied une fleur très double rose saumoné, également parsemée de petits points.
Depuis, les 2 pieds ont donné beaucoup de petits.
Une première touffe comporte plein de fleurs différentes, mais on reconnait les parentés.
Un peu plus loin, une autre touffe mais à la floraison uniforme.
J’adore sa couleur très foncée proche de ma version coeur d’anémone, par contre les petits points ont disparu au profit d’un joli veinage.
En tous cas, c’est une belle surprise de 2014 qui forme maintenant une belle touffe.
Bon, toutes les fleurs ne sont pas encore ouvertes, il reste encore des surprises à découvrir ici ou dans les autres massifs du jardin. Je n’ai pas fini de retourner les fleurs des nouveaux pieds.
Et vous, êtes vous accros aux hellebores et leurs belles surprises ?
Joli Geum
En mai, c’est le moment de profiter des jolis fleurs des petits geum.
Geum « Mai Tai »
J’ai découvert cette petite beauté à Locon en 2014 sur le stand de Sandrine et Thierry Delabroye.
Il s’agissait de la variété « Mai Tai », aux jolies fleurs rose saumoné.
Le geum forme une petite touffe de feuillage d’où émergent les fleurs semi-doubles, ici aux couleurs pastelles.
Il aime le soleil, non brulant, et les terrains ordinaires à frais. Il s’est bien installé dans ma terre lourde.
Alors j’ai craqué sur une deuxième variété …
Geum « Cocktail Gimlet »
Toujours à Locon, mais en 2017, je craque sur le geum « Cocktail Gimlet » . Celui-ci est jaune pâle et s’est aussi bien installé sur la Butte du Pêcher.
Geum « Tequila Sunrise »
En 2019, à Locon, je craque à nouveau sur un geum, il s’agit du geum « Tequila Sunrise ».
Ses fleurs sont jaunes bordurés de rose.
Geum Orange
Lors d’une virée en jardinerie, je craque sur un geum sans nom.
Ses fleurs sont orange et il est en super promotion : 80cts, je ne pouvais pas résister !
Finalement, me voilà avec 4 cultivars différents !
J’avoue que j’aime beaucoup cette petite plante qui se satisfait d’une petite place au milieu des vivaces et fleurit jusqu’en août.
Hémérocalle un jour …
Hémérocalle toujours !
C’est la reine du moment.
Il fait très chaud,mais surtout très sec. Pas une goutte d’eau depuis le 7 juin, le jardin souffre.
Les rosiers eux ont profité du soleil et des orages du début juin et nous ont offert une floraison généreuse.
Les hortensias par contre ont démarré leur floraison plus tard et souffrent franchement du manque d’eau. Je n’ai pas d’autre choix que de les arroser.
Et les hémérocalles, elles supportent sans rechigner les 35°C au soleil sans eau.
Je suis Fan !
De la couleur
En plus d’être résistantes, les hémérocalles offrent une grande palette de couleur.
Jaune
En jaune, il y a la plus connue des hémérocalles « Stella de Oro ». C’est une des premières arrivées au jardin.
Mais depuis quelques années, une jaune pale s’est installée au jardin. Commandée chez Guénolé (Hémérocalle de la Pointe), elle aurait du être blanche et s’appeler « Joan Senior ». Mais après floraison, il est évident que ce n’est pas elle.
Mais je l’aime bien quand même !
Saumon
Celle-ci, je l’ai choisi en fleur et donc pour sa couleur rose/saumon très pale.
Elle était étiquetée « Jean Swann », mais là aussi j’ai des doutes !
Un peu plus foncé, voici une version saumon/orangé à coeur pourpre qui se fait franchement remarquer !
Encore une fois, la fleur ne correspond pas à l’étiquette car il s’agit de l’hémérocalle « Dream Legacy » qui aurait du être plus crème avec un liseré pourpre sur le bord des pétales !
Rose
Pour le rose, il y a du choix aussi.
Je vous présente ici « David Kirchhoff ».
Moins jolie que sur l’étiquette, je ne lui en veux pas car elle est très généreuse !
Plus foncée et aussi très généreuse, l’hémérocalle « Summer Wine » propose une teinte de rose foncé. J’ai déjà dédoublé son pied plusieurs fois, j’en ai donné et aussi ré-installé au jardin. Je l’adore !
Pourpre
En pourpre, deux versions se battent au jardin ! Difficile de les différentier tant elles sont proches en couleur.
Un coeur légèrement plus vert pour « Super Purple » et une taille immense pour « Strutter’s Ball »
Accompagnées de lavatère maritime, teucrium hircanicum et geranium, elles font leur show dans le massif des Tonnelles !
Rouge
Le rouge est bien représenté aussi au jardin.
La plus rouge est la belle « Carolina Cranberry ».
Un beau rouge velours qui tranche avec le blanc des leucanthemum « Phillis Smith ».
Une hémérocalle rouge en pot décore le pied de la serre. Avec la chaleur de cette année, elle est rouge très foncé mais elle a gardé son beau coeur jaune !
Une autre rouge sans nom, mais cette fois aux pétales fins.
J’aime bien aussi cette forme plus légère. J’ai d’autres variétés sans nom en jaune ou en rose. Mais je n’ai pas fait de photo !
Voilà pour un petit tour en couleur au milieu des hémérocalles du jardin.
Si vous avez envie de continuer la découverte des hémérocalles, c’est ici !
Des hellebores et des roses
Après un mois de décembre qui avait démarré froidement, la douceur et la pluie sont rapidement revenues.
Le jardin a été bien arrosé depuis le début de l’année, mais il ne fait pas froid. Alors au jardin, les hellebores démarrent en compagnies des dernières roses !
Carré Gauche
Près de la maison, le massif est couvert d’hellebores jaunes.
Je craque ! En bouton, grand ouvert, double ou simple, ils ont chacun leur charme …
et pour accompagner ces beaux hellebores, une rose de « Sunny Rose » !
C’est un rosier qui n’ai jamais malade, qui démarre sa floraison fin juin et continue jusqu’aux gelées. Cette année, il a passé outre les gelées de décembre pour continuer à nous offrir une ou 2 fleurs !
Derrière la Piscine
Le massif est bien animé par les nombreux pieds d’hellebores qui se sont installés tous seuls.
Ici se trouve mon premier pied d’hellebores !
C’est une version miniature,
jaune pâle presque vert que j’adore.
J’ai installé d’autre pieds et
d’autres sont arrivés via les semis avec de belles surprises !
Bien ouvert, un bébé rose presque blanc, plus pâle que le parent
mais qui a gardé ses jolis points rouges et le coeur vert !
Plus loin, un autre beau bébé
qui a les mêmes caractéristiques qu’un pied présent à l’autre bout du jardin !
Celui-ci a 3 tépales foncés et 3 clairs, des étamines très longues sur un coeur pourpre.
Il s’apprécie aussi vu de dessus.
La Nature nous fait vraiment de jolis cadeaux !
Un autre cadeau de la Nature : les roses de « Yann Arthus Bertrand ».
Ce rosier nous gâte vraiment toute la saison et le voilà encore en fleurs et en boutons mi-janvier.
Les Tonnelles
les hellebores installés l’année dernière ont fortement souffert du manque d’eau à la belle saison.
Je n’aurai pas de fleur cette année !
Mais du coup,
c’est le rosier « Rhapsody in blue » qui prend le relais en nous offrant une rose !
Bon, elle fait un peu perdue, toute seule avec sa feuille au milieu des bourgeons débutants !
Alors j’apprécie l’effort …
Butte du Pêcher
La butte du Pêcher est couverte d’hellebores.
Au pied du pêcher, des hellebores doubles roses.
Au milieu, un hellebore à feuilles jaunes.
Celui-ci, j’enlève les feuilles très tardivement histoire d’en profiter au maximum .
Quant à celui-la, il fait des fleurs sublimes à coeur d’anémone.
Et du coup, j’ai fait un bon coup de nettoyage coté feuille pour pouvoir profiter de la floraison.
un rosier se réveille !
Il s’agit du rosier « Breathless Charm ».
Il n’a pas été très florifère pour sa deuxième année au jardin.
Mais il me propose 3 boutons en cette mi-janvier.
Etrange !
Serait-ce ses gênes australiens qui se rappellent que, dans l’hémisphère sud, c’est l’été ?
Massif du Seringat
Le Massif du Seringat est dédié aux rouges et blancs. Et en cette saison, il reste dans le thème !
Le premier hellebore en fleur est ce double blanc.
C’est un bébé du jardin.
Je l’ai trouvé sur la Butte du Pêcher et l’ai déplacé ici.
Pour le rouge, ce sont les rosiers qui font de la résistance !
Un des rosiers m’offre un bouton prometteur.
L’autre a déjà ouvert sa rose !
mais je savoure tout en me demandant si les rosiers arriveront à se reposer pour la prochaine saison !
Bon, ces floraisons font du bien en cette saison.
Mais quand même c’est étrange de savourer en même temps des hellebores et des roses !
Le retour des Asters
Et de la jardinière
Et oui, voilà 3 mois que j’ai délaissé internet, le jardin et tout le reste ! Je me suis fait une hernie discale qui m’a bloqué un nerf de la main droite.
Entre les douleurs et le handicap de la main droite, impossible de tenir plus de 10 minutes devant un ordinateur. J’ai géré les urgences et n’ai utilisé l’ordinateur que pour l’administratif.
Le jardin a été complètement délaissé, sauf le gazon qui est géré par Grand Chef.
Après infiltration, les douleurs ont disparu mais la main droite reste engourdie. Il faut encore attendre ….
Mais le coté positif, c’est que je tiens maintenant une heure devant un ordinateur. Je peux donc recommencer doucement la lecture des blogs jardin et aussi vous proposer un article.
Allez je vous emmène faire le tour des asters du jardin ….
Du blanc pour Overdose
Overdose est dédié au blanc.
En cette saison, il n’y a plus beaucoup de blanc,
même si le rosier « Princesse de Galles » nous offre encore quelques fleurs.
Le viburnum Mariesii Plicatum a pris ses couleurs automnales accompagné par les artémises et leur joli gris.
Le chrysanthème « Poésie » devrait bientôt fleurir
mais en attendant, je trouve que le massif manque de fleur blanche.
Alors automne 2016, j’installe à l’avant du massif le petit aster « Schneekissen ».
Et le voilà 1 an après, il s’est bien installé et vient un peu combler mon manque de fleur !
Du rose pour Too Much
Too Much associe les pourpres-noirs aux roses pales.
A la création du massif en 2010,
j’avais installé un pied d’aster « Ring Dove » trouvé au Jardin d’Astrée.
Il s’est bien étoffé et
m’offre des jolis duos avec les pourpres de l’hydrangea quercifolia « Snow flake » .
« Ring Dove » est le seul à avoir survécu : j’ai perdu l’aster « Kylie » et un spécimen rose bonbon de Stéphane.
Pas toujours facile de s’installer en terre très lourde et très humide à cet endroit du jardin.
Du coup, automne 2016, lors de ma sortie à l’école de Genech,
j’ai pris un pied d’aster « Fellowship ».
Il s’est bien installé
et m’offre 3 belles tiges aux grandes fleurs à longs pétales rose pâle.
Bon il a un peu de mal à garder la tête haute après la pluie et le vent,
mais c’est sa première année…
Il ne faudra pas oublier de le rabattre en juin !
Du blanc dans le Massif du Seringat
Le Massif du Seringat est dédié aux blancs et rouges/rouges framboises.
Ici les asters sont installés depuis plusieurs années et forment des grandes taches de blanc.
L’aster « White Ladies » possède des grandes fleurs d’un blanc pur à coeur jaune rosissant.
Sous le petit prunus « Kojo No Mai », un aster blanc double est moins généreux et m’offre, tous les ans depuis sa plantation, une tige !
A l’époque je ne notais pas tout, mais je pense que c’est aster de la série Victoria.
De l’autre coté du massif, encore du blanc.
une bête de course !
Toujours bien droit malgré la pluie et le vent !
Je ne le rabats jamais ( j’oublie ).
Et sa floraison !
Des centaines de petites fleurs blanches à coeur jaune rosissant rapidement.
OUAH !
Je ne m’en lasse pas et en duo avec le sedum, j’adore !
Du rose foncé pour la Butte du Pêcher
La Butte du Pêcher se colore de roses et de jaunes.
En ce moment, c’est l’aster « Rubinschatz » qui tient la vedette.
Son rose foncé est très lumineux.
C’ est un aster de Nouvelle Angleterre qui peut atteindre 1.70 mètre
et qui n’est jamais malade.
Cette année, j’ai pensé à le rabattre en juin.
Et du coup, il a une taille plus raisonnable pour l’endroit où il est installé.
Du mauve pour Les Tonnelles
Ici ce sont les mauves qui explosent !
Oh que ça fait du bien toutes ces couleurs !
Continuons le plaisir avec quelques gros plans …
Les violets foncés
Les roses foncés
Les roses pâles
Les bleus – lilas
Tous les asters du massif n’ont pas eu de gros plan, mais ceux présentés donnent déjà un bon échantillon de couleurs et formes possibles.
Et du rose fluo pour Derrière la Piscine
C’est le magnifique aster « Alma Potschke » au rose fluo,
difficile à prendre en photo tellement il est lumineux !
Il éclaire à lui seul ce coin de massif un peu triste en ce moment.
Le tour des asters du jardin se termine.
Difficile d’abandonner toutes ces étoiles colorées,
sans profiter encore un peu de la vue générale.
Et avec le soleil en prime !
Anémone pulsatille
Les anémones pulsatilles ont fini de fleurir. Mais elles ont toujours une belle présence !
Ici au bout du massif, leurs grosses boules de poils me font craquer !
En duo avec les cerinthes major !
Sur la butte du pêcher, un autre plant d’anémone pulsatille, celui-ci est à fleur rouge.
Il apporte une note de légèreté dans le massif !
Les pétales des fleurs pendent en dessous du pompon de graines !
J’adore leurs grosses boules toutes duveteuses qui font durer l’ intérêt après la floraison.
Le temps des Hellebores
La semaine dernière, j’étais en congés. Mon programme coté jardin était bien chargé.
Mais hélas, le mauvais temps s’est installé dès lundi matin, me laissant un peu … comment dire déprimée !
Sortie chez Delabroye
Comme je ne suis pas de nature à me laisser déprimer, j’ai donc décidé de profiter de mon lundi après-midi au milieu des hellebores de Thierry et Sandrine Delabroye.
Arrivée à 14h, je suis la première. La pépinière est calme. Après une bonne discussion avec Thierry, je me dirige vers les tunnels remplis d’hellebores.
Quel plaisir de profiter de toutes ces beautés, toute seule, tranquille !
Bon, comme d’habitude, j’ai sorti l’APN et fais quelques photos. Comme d’habitude, j’ai vite arrêté les photos : trop de beautés à photographier !
Je vous propose quand même une petite sélection de ces beautés !
En jaune
J’ai trouvé les jaunes plus soutenus que les autres années. Est-ce du au temps gris ?
En jaune guttatus
J’ai aussi craqué sur des hellebores jaune guttatus. Le contraste du fond jaune et du rouge des points est revigorant en cette saison.
En saumon
Depuis longtemps, Thierry Delabroye travaille sur des hellebores abricot, saumon.
Jusqu’à maintenant, je trouvais le résultat fade, même si je rêvais d’une belle hellebore saumon. Mais cette année, beaucoup de pieds dans cette teinte m’ont fait de l’oeil.
Et puis, une autre originalité, c’est le feuillage jaune. J’ai déjà 2 pieds d’hellebore à feuillage jaune au jardin. C’est un vrai régal. Son feuillage jaune en cette saison réveille les massifs et j’attends le dernier moment pour ôter les feuilles.
En rose
Plus classique en rose, les formes doubles ou aux pétales surlignés sont aussi très jolies.
Mes achats
Vous vous doutez que je n’ai pas pu résister et que je suis partie avec quelques beautés. Je vous les présentent !
Rose simple
J’ai d’abord craqué sur cette belle à grande fleur rose simple, mais avec un coeur pourpre très dessiné.
Rose et blanc double
J’ai déjà plusieurs variétés doubles au jardin. Mais j’ai craqué sur celle-ci pour ses pétales blancs réhaussés de rose foncé sur le bord des pétales, avec un joli coeur vert.
Pourpre double
Encore une jolie double, rose pourpre assez foncé. Dessous, on pourrait presque croire qu’il s’agit d’un dahlia.
Abricot à feuille jaune
Pour finir, j’ai aussi craqué sur un hellebore à feuille jaune avec une fleur simple au reflet abricot.
Bon, j’ai aussi repris 3 pieds de cyclamen coum à feuille argentée.
Finalement, j’aurai passé plus de 2heures dans les tunnels à m’émerveiller devant toutes ces beautés mais aussi à papoter avec Thierry et/ou Sandrine.
Je suis rentrée toute requinquer !
PS : toutes les photos sont cliquables pour être apprécier en grand format
Eupatoire « Chocolate »
L’automne est bien installé et c’est le moment de profiter de la fanaison des arbres et arbustes. Quelques vivaces apportent encore un peu de couleur comme les chrysanthèmes et quelques asters tardifs. Mais une autre belle se fait remarquer en ce moment : c’est le bel Eupatoire « Chocolate » ( eupatorium rugosum « Chocolate »)
Au fil des saisons
En juin
Le feuillage de l’eupatoire commence à se remarquer au milieu des autres feuillages.
Sa couleur brun-chocolat tranche avec le feuillage vert clair des astrances.
Ce sont surtout les jeunes pousses qui sont très foncées.
En septembre
L’eupatoire forme un beau « buisson » foncé.
Placé en fond de massif, il culmine à au moins 1.2m.
Sa couleur foncée fait ressortir les différentes floraisons claires du massif.
En octobre
La floraison démarre.
L’eupatoire se couvre de corymbes de fleurs blanches, portées par des tiges pourpres qui mettent en valeur les fleurs.
Et surtout, la fleur légère se détache joliment sur le feuillage pourpre.
En novembre
Le feuillage de l’eupatoire perd ses couleurs pour devenir doré. Mais il reste une des vedettes du jardin en ce moment.
Ses caractéristiques
L’eupatoire aime les terres fraiches à humides et les terres lourdes ne le dérangent pas. C’est nickel pour l’endroit où je l’ai installé, c’est un des coins le plus humide du jardin.
C’est surtout en été où il peut souffrir du manque d’eau et peut donc réclamer des arrosages complémentaires.
L’été 2016 ayant été bien humide, l’eupatoire s’est franchement développé cette année, alors que je l’avais déplacé à l’automne.
Il affectionne aussi le soleil. D’ailleurs, je crois que si j’ai perdu le premier pied, c’est parce que je l’avais installé trop à l’ombre.
Il ne craint pas le froid et peut résister à -15°C. Un costaud !
Pour résumé, les pieds au frais et la tête au soleil !
Couleurs d’Automne
Après cet été chaud et sec, septembre et début octobre ont été encore doux et secs. Depuis une semaine, la fraicheur s’est installée et la pluie est revenue !
Et le jardin commence à prendre ses couleurs d’automne. Quelques massifs sont encore bien colorés. Je vous emmène faire un tour ….
Derrière la piscine
Ce massif est toujours très coloré, c’est un massif au couleur flashy ! Et en ce moment, il s’en donne à coeur joie.
Le rosier « Yann Arthus-Bertrand » continue sa floraison accompagné maintenant par le lumineux aster « Alma Potschke ». Les osteospermums continuent aussi d’animer joyeusement le massif.
Dans l’autre sens, le massif joue aussi les prolongations estivales avec le tabac « Lemon Lime ».
l’osteospermum jaune est lui aussi toujours en forme.Il devrait tenir jusqu’aux premières gelées.
A sa droite,
la sauge « Savannah », récupérée lors d’une Donnerie et installée cette été, fleurit depuis son installation et explose vraiment en ce moment.
A droite toute,
un dahlia rose, offert cette année par ma Jolie-Soeur et venant du jardin de sa maman, fleurit aussi généreusement en attendant les chrysanthèmes.
J’avoue que ce massif me régale en ce moment, il pétille !
Les Tonnelles
Du coté des Tonnelles, ce sont surtout les asters qui font le spectacle au sol, tandis qu’en hauteur la clématite « Orange Peel » est couvert de petites fleurs jaunes-orangés.
C’est le massif des mauves !
<- Aster mauve clair, dont j’ai perdu le nom !
Celui-ci plus parme devrait être l’Aster « Crimson Brocade » mais la couleur ne correspond pas ->
<- Celui-ci est l’Aster « Jenny » .
C’est un dumosus qui reste petit : idéal pour l’avant des massifs !
Duo d’asters avec un aster mauve très foncé sans nom et l’aster cordifolius « Blütenregen » aux petites étoiles lavandes ->
<- Au bout du massif, un autre petit aster.
Il s’agit de l’Aster ageratoides « Asmoe » au petite fleur lavande très pale.
Il forme un joli coussin depuis fin août.
Derrière le budleia, l’aster « Wolkonsky », offert par David au printemps, s’est bien installé ->
<- Comme j’ai adoré sa couleur, lors de ma sortie à la Fête des Plantes de Genech, j’ai craqué pour l’aster « Violetta » dans les mêmes teintes de couleurs.
C’est un novae-angliae de grande taille, environ 1.5m.
Je l’ai installé près d’un aster mauve pâle.
Voilà pour un petit tour des asters mauves.
Le Massif du Seringat
Le massif du Seringat est dédié aux rouges et blancs. Ce sont donc les asters blancs qui dominent en ce moment.
Le plus impressionnant dans le massif est l’aster « Chloë », très haut et surtout bien droit.
J’adore ses petites fleurs à coeur jaune qui devient framboise.
D’un blanc pur, l’Aster « Monte Cassino » a lui de grandes fleurs à coeur jaune.
Celui-ci est un aster de la série victoria.
A l’achat, il était petit, mais installé en pleine terre il atteint presque un mètre.
J’adore sa fleur très double.
Pour finir avec les asters blancs, voici le beau Divaricatus en fleur depuis août.
Même s’il a tendance à s’étaler (et encore cette année, j’ai pensé à le pincer ), je craque sur ses fleurs légères au coeur jaune devant presque pourpre !
Voilà pour le blanc, mais il y a aussi du rouge …
Too Much
Avec le massif Too Much, c’est changement de couleur ! Ici, c’est le massif des pourpres et roses.
Cette année, l’eupatoire « Chocolat » est superbe et apporte un beau fond foncé.
Les fleurs de l’hydrangea quercifolia « Snowflake » passent du blanc-vert au rose pâle. Certaines fleurs ayant séchées avec la chaleur, les grandes panicules sont franchement colorées en ce moment.
Pour l’accompagner, le rosier « Astronomia » fait encore quelques fleurs légèrement poudrés de rose.
Toujours dans les teintes de rose pâle, l’aster ericoïdes « Ring Dove » forme un nuage de petites fleurs légères.
J’ai encore oublié de le pincer et du coup, il a tendance à s’écrouler sur l’hydrangea.
Pour équilibrer le massif, j’ai installé de l’autre coté de l’hydrangea le bel aster « Fellowship » acheté à Genech.
Les teintes de rose sont les mêmes, mais la taille des fleurs diffèrent franchement. Il reste à attendre l’automne 2017 pour voir le résultat !
Overdose
Le massif Overdose prend de belles couleurs en cette saison, même s’il n’y a aucun aster (pour le moment).
Une des vedettes du massif en ce moment est le beau viburnum Mariesii Plicatum qui est en train d’enfiler son habit pourpre.
Pour lui voler la vedette, le chrysanthème « Poésie » commence à ouvrir ses nombreuses fleurs blanc crème qui prennent quelques teintes roses en fin de floraison.
Une autre beauté qui se dévoile en ce moment avec le soleil plus rasant : la belle Setaria « Caramel » issue de graines du SOL2016. J’avoue qu’en ce moment, elle me fait craquer !
Et vous craquez-vous sur les couleurs d’automne ?